Vendredi 14 novembre 5 14 /11 /Nov 23:33

  Message de prévention pour ceux qui seraient choquer avant même d'avoir lu l'histoire. Je fais ça pour éviter les abus et pour sauver cette histoire. Donc voilà, si vous vous interessez de près à cette histoire et que vous lisez les chapitres au delà du premier vous verrez peut-être que c'est une histoire d'amour entre deux être consentant , qui passe par des difficultés pour avoir le droit de s'aimer, tout simplement. Si voulez en savoir plus il faut lire l'article dans notes de l'auteur "petit problème". Mais n'oubliez pas qu'avant tout c'est une fiction, pas complètement irréaliste mais voilà ce n'est qu'une histoire. Sur ce bonne lecture

 

 

On était lundi, en début d'après midi et j'étais sur la terrasse en train de lire un livre, lorsque qu'une main prévenante se posa sur mon épaule.
- Ca va?
Je faisais mine d'avoir rien entendu. Peut-être qu'il n'insisterait pas.
- Eh! Je te parle.
- Et alors! Je dois forcément te répondre. Et dire que j'étais tranquille il y a encore deux secondes. 
- Oh! N'oublis pas à qui tu parles, ok!

Je me levais brusquement, balançant mon livre sur la table, je lui faisais face à quelque centimètre de son corps musclé et déjà je sentais des chaleurs terribles m'envahir. Je voyais qu'il ressentait la même chose et que s'il avait pu il m'aurait prit là toute suite contre la table.

- Ah, parce que tu crois encore  que je dois te respecter...... comme un fils? Mais à qui je m'adresse là!  A un gars qui fait encore semblant de jouer les papa ou à l'un de mes amants. On appelle ça comme ça au bout de la deuxième fois?

J'avais pris un ton miel, ce qui ne manqua pas le faire réagir.

- L'un de mes amants..........puis-je savoir qui sont les autres, dans ce cas là ?

- Comment peux-tu penser à ça alors que maman est juste en haut.

- Tu vas me dire que tu n'y avais pas pensé...... là toute suite.

Je le poussais brutalement pour l'éloigner de mon corps qui ne voulait plus qu'une chose, être contre le sien.

- Arrêtes de te mettre dans des états pareil, ta mère n'a absolument rien, ce n'était qu'une légère crise. Juste un surplus de stresse. Elle court partout et s'occupe de beaucoup trop de choses en même temps.

- Imagines qu'elle est à s'occuper de nous en plus. Marc n'a pas tord c'est peut-être nous la raison.

- Quelle brillante idée t'as-t-il encore soufflé cet idiot?

Je le regardais atterré par sont comportement de gamin.

- Si je te connaissais pas je dirais que t'es jaloux, mais c'est pas ça le problème pour l'instant. Le problème c'est que maman est peut-être au courant. J'ai lu que les femmes refoulaient volontairement plusieurs secrets de familles pour garder la famille soudée et que ça se retournait souvent contre elle. Je suis sûre que c'est ça, elle le sait et on est dans la merde...........

- Eh du calme elle ne sait rien,  crois moi!! Je le saurais si elle se doutait de quelque chose.

Ma voix devenait plus silencieuse comme si j'essayais de dissimuler les paroles que je m'apprêtais à dire.quelque chose de trop secret pour être crié sur tous les toits.

- Hier s'était une erreur, ça l'était déjà il y a 6 mois. Je ferais mieux de partir, j'attends juste qu'elle se sente mieux. Mais après je prends réellement mes distances jusqu'a ce que mes sentiments pour toi soient comparables à celles de cette table.

- T'es dure là.

- Non je suis réaliste, nos petites combines n'ont pas marché. Alors pour moi c'est terminé, je veux plus te voir.

Je passais près de lui pour partir mais son bras me retint, me tirant contre lui. Sa bouche frôlait  la mienne et je n'arrivais plus à le repousser.

- Je ne te laisserais pas t'éloigner de moi........

- Pourquoi............

- Je........

Un raclement sonore nous fit sursauter.

- Vous devriez faire plus attention tous les deux. Grand-père est dans la pièce d'a côté.

- Marc! Je t'ai même pas entendu rentré

- Bah! Je comprends pourquoi!

- Je vais vous laissez...

Austin me lança un dernier coup d'oeil avant de partir et au passage Marc et lui échangèrent un bref regard qui ne voulait dire qu'une chose: ne marche pas sur mes plates bornes.

 - Vous  alliez vous embrasser là, tranquille.

- Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi, si c'est pour que ça finisse de la même manière.

- Eh, bah quoi j'ai pas le droit à mon petit bisou moi aussi.

- Non tu n'as rien fait pour le mériter. Et vous étiez où, je me lève il y a plus personne.

- On est allez faire des petites courses, ici on les fait tôt. J'en ai profité pour aller acheter un bonnet. Ta petites soeur a été gâté, je lui ai fait jouer les mannequins. Franchement c'est un jolie brun de fille elle aura les proportions idéales plus tard, un peu comme ta mère. 

- Super, t'as rien de plus intéressant à raconter.

- Si on a eu une idée avec grand père, mais en voyant votre petite entrevue là, j'ai des doutes tout d'un coup!

 

On était tous réunis dans  le salon à vaquer à des occupations diverses lorsque mon grand-père évoqua sa brillante idée.

- Alors j'ai pensé les garçons, enfin avec Marc on a pensé que du camping ça ne serait pas une si mauvaise idée. On partirait 3 jours entre homme et on laisserait les dames tranquilles comme ça. Ca leur permettrait de décompresser un peu.

- Ca c'est bien dit Charles, ma fille ne peut plus vous supporter elle à besoin de repos voyez-vous!

- C'est bon maman, mais vous devriez y aller les garçons, ça vous permettrait de vous défoulez un peu. Allez faire les fous dans les montagnes. Et ce serait bien pour vous deux, pour vous retrouver un peu.

 On échangea un regard avec Austin qui paraissait lourd de sens. D'une, il était évident qu'elle n'était pas au courant ou alors elle cachait bien son jeu et de deux un petit isolement dans les montagnes c'était la dernière chose qu'il nous fallait. A moins de tenter le diable ce n'était vraiment pas une bonne idée. J'essayais de faire passer le message en le fixant avec insistance mais il n'avait pas l'air du même avis que moi; il avait un autre plan en tête.

- Oui c'est une très bonne idée. Ça te permettrait de souffler un peu et je dois dire qu'une petite excursion dans les montagnes ça nous ferait le plus grand bien, n'est ce pas?

Il me testait et en plus de ça il arrivait à ses fins.

- Est-ce que j'ai le choix.

- Ne le prends pas comme ça mon chéri, toi et ton père vous avez besoin de parler.

- Oui maman.................

- Et il y aura Marc, tu vas bien t'amuser.

- Oh! Moi je ne sais pas si je serais d'une grande utilité dans cette histoire...........

Bien Sûre j'avais compris à quoi il faisait allusion, mais ça restait assez flou pour les autres.

- Ne raconte pas de bêtise depuis le temps que tu viens chez nous, tu t'y connais mieux que moi en orientation alpine.

- Oui.........bien sûre.

- Bon c'est décidé alors, demain tout ce petit monde déguerpit!

- Et moi je peu pas venir? S'écria Célia toute tristounette.

On rigola tous de bon coeur tandis que mon grand-père allait  la consoler.

 

Le lendemain on s'était tous lever tôt, enfin pour ceux qui s'en allaient, pour charger tous les équipements.

On prit la périph pendant deux ou trois heures avant d'atteindre les routes montagneuses. Des montagnes immenses et verdoyantes se dressait devant nous et les routes devenaient de plus en plus pointues. Marc me parlait des délires qu'il se tapait avec ses potes à la Montagne à Seattle tandis que Charles et Austin discutaient administration routière- très intéressant n'est-ce pas?

On s'arrêta une heure et demie après, devant une cabane isolée. Là le mec semblait nous attendre. Il connaissait mon grand-père qui semblait-il était un habitué et nous indiqua un terrain de libre pour la nuit à un kilomètre à peine de l'épreuve d'orientation. On s'y rendit après avoir prit quelque matériaux en plus, des chaussure de marche pour moi, les cartes du "rallye" et une bonne boussole au cas ou.

Sur place Marc déplia sa tante Quechua tandis qu'on se fit chier à monter la standard de mon papy. Mais en fin de compte le résultat était plutôt pas mal. Après ça on se mit en quête de bois pour allumer le feu immense qui nous réchauffa tous. Un peu plus tard on s'occupa du dîner alors que les plus vieux organisaient le départ de demain.

J'étais en train de manger quand je m'aperçus qu'Austin avait dégainé le chapeau de cow-boy. Je n’arrêtais pas de me dire qu'on était dans un remake de "Brokeback Mountain", et étrangement ça me faisait rire plus qu'autre chose.

- Alors les gamins c'est pas ça la vrai vie!

- Tu parles du portable qui capte plus! Parce que là je ne suis pas sûre.

- Rooh! Vous êtes des cas désespérant, mais en tout cas on s'est décidé pour demain. Je voulais que tu passes un peu de temps avec ton père............

Et merde je voulais tout sauf me retrouver avec lui durant 3 jours.

- Mais il m'a certifier que t'as mère se faisait un peu trop d'idées, c'est vrai que les bonnes femmes on tendance à tous dramatiser. Sous prétexte qu'on à d'autres chats à fouetter, elle en conclut que notre relation avec notre enfant et au point mort. Du coup tu passera c'est trois jours avec Marc, il s'y connais bien mieux que ton père je pense, comme ça les groupes seront mieux équilibré. Une bonne veille compétition entre les jeunes et gens mûre d'esprit.

-Pour ne pas dire les vieux, c'est ça?

- Marc!!

J'étais tout d'un coup super déçu, il ne voulait pas de moi. En fait ma première idée était la bonne il se servait de moi depuis le début, depuis que je l'avais laisser pénétrer dans mon intimité. Il avait assouvit sa pulsion du moment et ça s'arrêtait là. Il jouait pour toujours me jeter à la fin. 

- J'ai plus faim........ je vais me coucher.

Je les laissais en plan trop déçu pour rester parmi eux plus longtemps.

 

Plus tard dans la tante, à côté de Marc une pulsion bizarre me traversa le corps. Je me redressais un peu, Marc dormait sur le ventre l'air serein. Pour une fois qu'il n'avait rien tenter, c'est moi qui allais commencer. Je descendais la fermeture éclair de son duvet  jusqu'à que son entrejambe soit à ma porté. Je passais ma main dessus guettant sa réaction. Ce qui ne tarda pas!

- Hum! Je peux savoir ce que tu fais là.

- Tu ne sens pas!

-...........bien sûre que je sens..........ah! Pourquoi fais tu ça? 

- Je croyais que c'était ce que tu voulais...........

Il prit mon bras avec force et me retourna jusqu'à ce que je sois sur le dos et qu'il domine avec son corps la situation à 100%.

- Ne me tente pas Antonio, je sais que tu n'en as pas envie, pas réellement en tout cas. Ce que tu veux c'est de te venger de Austin. T'espères que ça le fera souffrir, et tu as raison je penses qu'il souffrira. Mais toi, si tu couches avec moi pour cette raison comment tu te sentiras après?

- Sale, je me sentirais sale. Mais tu n'as pas compris que c'est ce que je voulais. Je veux que tu me détruises, détruis moi avec ta queue ?!

Je prenais sa bouche avec force, l'obligeant à participer. De toute façon avec toute la bonne volonté du monde il n'aurait pas pu m'échapper. Je pressais son corps contre le mien, sentant son érection contre la mienne, qui grossissait de plus en plus tant que je visualisais dans ma tête la personne que je désirais vraiment. Je n'eu pas à le visualiser très longtemps qu'il était déjà là.

- Vous feriez mieux d'arrêter votre business là dedans, ou je serais dans l'obligation de vous séparer............Antonio! Faut que te parles, tu as 3 minutes.

Marc se dégagea rapidement, il ouvrit la moustiquaire puis la protection principale avant de s'engouffrer dehors et de faire face à Austin. J'hésitais à sortir parce que l'ambiance avait l'air meurtrière.

- J'ai appelé mon fils, non?

- Arrêtez de jouer au débile avec moi. Il veut plus vous voir ! Vous ne pouvez pas supporter qu'il passe du bon temps avec un autre mec. Vous lui gâché la vie, sale con.

- Ne me parles pas comme ça,  sinon on va avoir un gros problème tous les deux!

- Et vous allez faire quoi me frappez..

- Je ne m’abaisserais pas ton niveau le morveux.

- Moi je me suis déjà abaissé au votre. Comment dire.........Il s'approcha de lui, le regard sombre et voix trop basse pour que je ne l'entende. Votre mec suce comme un chef.

Je fus assez choqués par ce qui s'en suivit. Austin fonça sur lui et fit pression sur la poitrine de Marc. Il fût entraîné dans sa chute mais se prépara à dégainer les points lorsque je décidais je m’en mêler, à temps.

- Arrêtez, bande de gamins écervelés, grand-père dort juste à côté. Heureusement qu'il a le sommeil lourd.

L'évocation du grand-père les ramena à la réalité. Marc le poussa assez  violemment pour se dégagez et se relevez. Ce simple geste me mit dans une colère insupportable.

- Eh calme toi, ok ! Ne le touche plus jamais comme tu viens de le faire!!

- Merde, Antonio!! Ça te plaît de jouer les victimes et de t'en prendre au autres. Décides toi mais ne me reproches rien.

- Arrêtes de t'en prendre à lui. Il m'a choisit, ça s'arrête là!

Mais pour qui il se prenait celui-là, c'est pas parce que je le défendais qu'il allait pas s'en prendre plein la face lui aussi.

- Ferme-là!! Si je m'en prends à lui c'est parce qu'il sait ce que je ressens. Toi c'est pire, je te hais autant que je t'aime. Si je pouvais j'aimerais ne plus jamais avoir à faire à toi. Mais j'ai pas le choix...........J’avais les larmes aux yeux et la voix fébrile, c'était dingue. Laissez moi tous les deux, ce soir je veux voir ni l'un ni l'autre. Trouvez vous un endroit pour dormir mais sûrement pas dans cette tente.

Je rentrais et fermais rapidement les fermetures avant que l'un ne réplique.

- Bonne nuit !

 

Les deux adversaires se regardèrent un instant, jugeant qu'ils étaient peut-être allés trop loin.

- Si tu n'étais pas sorti on en serait pas là!

- Ne rejetez pas la faute sur moi vous aussi. Il a fait une très bonne description de vous.  Il est tombé amoureux et vous avez profitez de lui. Vous continuez parce qu'il n'est plus qu'une chose que vous considérez comme votre. J'ai vécu ce qu'il vit, je sais très bien ce qu'on ressent. Ce qu'il vit ne sera que le début d'un long voyage en enfer. Changer ça avant qu'il soit trop tard. En plus de ça vous l'avez élevé, il est certain qu'il vous aime depuis plus long temps qu'il le dit, ce sera d'autant plus dure..........pitié laissez le ! Je sais trop bien ce que ça fait que d'être au bout du rouleau et je n'ai que 19 ans. Il s'éloigna sur cette longue tirade. Au fait, je préfère le laisser seul, il aura assez à faire que de vous maudire toute la nuit. Alors ce soir je m'incruste dans votre tente.

- .............Je ne sais pas ce que cet homme t'as fait mais sois en sûre qu'il ne vivra pas la même chose. Je tiens à lui plus qu'a ma propre vie............et il est temps qu'il le sache..........

Marc s'arrêta, et fixa Austin une seconde. Sa réaction le surprenait. Il ne voulait pas le croire mais il sentait que pour une fois il était vraiment sincère. Antonio comptait plus pour lui qui ne comptait pour l'homme qu'il avait jadis aimé. Il s'apercevait qu'il venait de faire un transfert, et que même si leur situation ressemblait un peu à la sienne, leur histoire à eux était totalement unique: Il y avait un amour partagé et il s'en rendait compte qu'aujourd'hui. Austin venait de le dire, lui il serait toujours là.

-.............Alors prouvez le.

Marc entra dans la tente ou son grand-père dormait déjà avant d'être, quelques minutes plus tard suivit de Austin.

 

Je me levais assez fatigué, d'autant plus que n'avait pas beaucoup dormis. Trop pleuré ne menait rien car ce qui était fait n'était plus à refaire.

Je sortais de la tente, au milieu de la forêt ou tout le monde m’attendait déjà. L'ambiance était comme qui dirait très silencieuse. Il y en avait qu'un qui ne comprenait pas cette soudaine atmosphère.

- Bon déjà que c'est deux là ne s'adresse plus la parole, tu vas pas t'y mettre toi aussi. On peut me dire ce qui se passe et pourquoi j'ai hérité de deux compagnons d'infortune hier soir dans ma tente.

- Ça c'est de ma faute, j'avais comme qui dirait, deux virus encombrant qui s'accrochaient à moi. Je ne voulais pas risquer de contaminer les deux personnes qui t'entourent.

- Bon! Je n’ai pas le temps de comprendre vos petites entour loupes. Vous êtes tous les trois de générations trop compliquées pour moi. Mais pour l'instant il faut mieux se mettre en route pour atteindre les premiers points de repaire assez vite. Austin vient m'aider, on s'occupe de la tente.

- J'arrive, il faut que je te parle d'un truc.

On s'occupait Marc et moi de la partie droite du campement tandis que je regardais Austin en grande discussion avec Charles qui semblait l'écouter attentivement. Qu'est ce qui pouvait bien se raconter de si intéressant pour mon grand-père l'écoute sans dire un mot.

Je chargeais les derniers paquets lorsqu'on nous interrompit.

- Bon! Petit changement de programme, Marc tu passes avec moi. Les bonnes femmes on toujours raison, il faut les écouter. Ça ne te dérange pas Marc?

J’observais sa réaction, de toute façon il n'allait pas accepter. Il détestait assez Austin pour lui mettre des bâtons dans les roues. Ce qui m'arrangeait carrément.

-.........pas le moins du monde, c'est même mieux ainsi............comme ça j'aurais loisir de passer du temps avec mon papy d'amour.

- HAHA!! Très drôle, allez les gamins finissez de ranger.

Je n’en croyais pas mes oreilles et surtout mes yeux, Austin lui souriait et ochait la tête comme pour le remercier. C'était quoi  ce plan, il était hors de question que je passe c'est trois jours avec lui.........

- Eh! C'est quoi cette tronche, c'est pas ce que tu voulais ?

- Je ............

-  Fais lui confiance ok, je sais que ça doit te paraître bizarre mais ne te fie pas aux apparences. Moi je me suis accroché à ça et j'en ai payé le prix fort. Accorde lui une seconde chance. Je pense que ça en vaut peine, ok.

- Je ne sais pas...........

- Donne lui juste ces trois jours, tu verras après ce qui l'en est.

Je regardais Austin ranger ses affaires. Je n'avais plus vraiment de colère quand je l'observais quelques secondes de trop, il n' y avait que cet amour tenace qui restait. Mais comment être sûre que pour lui c'était pareil.

Marc n'était peut-être pas le gars avec qui j'avais envie d'être mais c'était un véritable ami. Il avait raison, ne fallait-il pas aller au fond des choses pour en voir le cœur net? C'est ce que je voulais savoir.

- Ok, j'irais avec lui..................

                                        __________________________________________________

 

Bon, je suis un peu triste j'approche de la fin!! Mais ça fait quand même longtemps que je suis sur cette histoire.

Il reste quand même les derniers chap!!

 

 

 

Par historyshare - Publié dans : Le lien paternel- terminée *-*
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Samedi 6 septembre 6 06 /09 /Sep 13:21


Message de prévention pour ceux qui seraient choquer avant même d'avoir lu l'histoire. Je fais ça pour éviter les abus et pour sauver cette histoire. Donc voilà, si vous vous interessez de près à cette histoire et que vous lisez les chapitres au delà du premier vous verrez peut-être que c'est une histoire d'amour entre deux être consentant , qui passe par des difficulté pour avoir le droit de s'aimer, tout simplement. Si voulez en savoir plus il faut lire l'article dans notes de l'auteur petit problème. Mais n'oubliez pas qu'avant tout c'est une fiction, pas complètement irréaliste mais voilà ce n'est qu'une histoire. Sur ce bonne lecture



J'étais dans la salle de bain, entrain de régler les derniers détails de ma tenue de soirée, en dépoussiérant ma chemise et ma veste D&G( ouais parce que j'ai bon goût), lorsque Marc apparue dans l'encadrement de la porte.
- Tu passes plus de temps que moi dans la salle de bain........  je pense que tu peux arrêter de tripoter tes cheveux, ils sont parfait comme ça. On dirait que tu stresses!
- Grâce à ta brillante idée, mes parents nous accompagnent. Je ne suis pas stressé, je suis dégoûté.
- C'est ta mère qui s'est enflammée, dès que j'ai parlé de notre sortie en boîte, "oh, quel bonne idée! Je peux me joindre à vous, Marc!".

Je ne pus m'empêcher de sourire en l'entendant imiter ma mère de façon hystérique.
- Très marrant. Mais pourquoi mon père vient-il aussi, quel idée débile as tu pu lui balancer pour qu'il nous accompagne!
- Ah! Cette fois-ci ce n'est pas de ma faute. Soit c'est ta mère qui l'a invité soit il s'est invité tout seul.
- ...........hum! Je pense que c'est elle qui la entraîné. Je le vois pas s'inviter tout seul surtout dans un endroit pareil.
- Super tes explications, mais je crois qu'il est temps d'y aller.
-  Je te suis mais avant ça tu me dis comment on se débarrasse d'eux une fois arrivé là-bas.
- La boîte est immense et archi pleine. S'en parlé que je la connaît par coeur, depuis que je viens ici, j'y suis presque que tous les soirs. Je connais tous les coins et les recoins par coeur, alors si tu veux semer quelqu'un, c'est le bon endroit et je suis la bonne personne.
- Pfff! Allez  descends au lieu de faire genre.
Au salon les parents nous attendaient dans des tenues tous aussi class que la mienne même si mon "pseudo père" était un plus décontracte. Une fois tous ce petit monde réunit on laissa les grands-parents et ma soeur à leur jeu de société et on prenait la bagnole de Marc. J'étais devant avec lui et tout le monde était silencieux écoutant le vieux morceau de rock qui passait à la radio. Ma mère harcelait Marc de questions en tout genre -on voyais bien  que ça faisait des siècles qu'elle n' avait plus mis les pieds en boîte -mais il faisait bonne figure et répondait bien volontiers, ce qui l'enthousiasmait un peu plus . Moi j'avais les yeux rivés sur le rétroviseur j'essayais de capter le regard si fuyant du passager à l'arrière qui avait les yeux rivés sur le paysage sombre d'un quartier branché de la ville. Je voyais ses yeux crispés, il était en pleine réflexion, une réflexion dont il ne semblait plus pouvoir s'échapper. Et là je compris de façon plus claire, qu'il n'était pas là pour écouter de la bonne musique électro ou pour danser jusqu'au bout de la nuit, mais qu'il était là pour une toute autre raison que je n'arrivais pas encore très bien à déterminer. Il pouvait très bien être là pour garder un oeil sur ma mère qui il fallait bien l'avouer, était très influençable et très naïve, d'ailleurs c'était un peu à cause de ça que j'étais née.
On arriva vers un carrefour bondé de grosses caisses plus spectaculaires que les unes que les autres puis on déboula directement sur un complexe gigantesque ou des spots lumineux, qu'on entrapercevait déjà un peu plus loin,  étaient disposés un peu partout sur les façades indiquant bien  l'endroit des festivités. Les rues étaient pleines et le parking était presque dans le même état. Mais après une bonne dizaine de minutes on eu du bol de tomber sur un conducteur près à nous céder la place. Et une fois tout ce petit monde sortit on pu enfin se placer dans dans la fil VIP "personne a accès à illimité", ou déjà pas mal de gens attendaient mais ce n'était rien à côté de  ceux qui se tapaient la queue normale.
- Suivez moi, C'est pas le moment de ce disperser.
Marc sortit contournant carrément les dizaines de personnes qui le précédaient.
- Ils accordent leur place VIP à de plus en plus de merdeux avec leur putes qui se frinquent de moins en moins.
- Et tu nous emmènes ou comme ça, alors que tous les petits  merdeux comme tu les appelles nous fusillent du regard.
- T'inquiètes, suis le guide.
On le suivit jusqu'a se qu'il s'arrête devant l'espèce de gorille qui servait de laisser passer. L’immense bonhomme nous jaugea du regard, l'air mauvais puis tout d'un coup un large sourire se dessina sur ses lèvres. Evidemment Marc en était la cause. S'en suivit un mini échange 100% english.
- Eh! T’es pas en retard pour ton show, petit.
- Ouais comme toujours
, mais  je ramène des gens aujourd'hui.
- Ok, bah je t'en prie. Amuse toi bien toi et t'es amis.
Il ouvrit la cordelette qui lui servait de barrière et on accéda à l'étape suivante sous les regard apeurés de certains pour qui l'admission n'étais pas aussi facile. Ma mère fut littéralement impressionnée.
- Dis donc Marc t'as tes entrées partout!
- Je traîne tellement ici que je fais parti des meubles.
- Je suis tellement excitée chéri, on va s'amuser.
Austin n'écoutait plus vraiment, il n'était pas là pour ça, d'ailleurs si sa femme le connaissait vraiment, elle saurait qu'il n'était plus du genre à traîner dans des endroits pareil, il préférait d'avantage l'ambiance feutrée d'un bon resto haut de gamme.

On était à présent dans le couloir d'entrée, baigné dans une lumière rouge qui donnait un peu le ton de la soirée qu'on s'apprêtait à vivre: érotique, érotique,  érotique. 
Une immense porte noire en cuire s'ouvrit automatiquement, et là,  la musique nous inonda littéralement de la tête au pied. Une salle immense s'étalait devant nous. Mais l'ambiance était plus calme que je ne l'imaginais. Les gens dansaient normal, la musique était plus ou moins tendance ms y 'avait rien de transcendent dans tout ça. Ca faisait plus salon branché ou les gens était plus occupé à discuter en écoutant  de la musique qu'a danser comme des furieux.
- Classe ta soirée ms j'ai vu mieux, bien mieux. Finalement  t'avais pas tort, c'est vraiment un endroit ou tu peux ramener tes parents. Ils sont tous plus vieux que toi  -là j'abusais un peu ms c'est vrai qu'il y 'avait quelques quinquagénaires.
- Eh j'ai que 19 ans, je  suis pas une référence à la vieillesse ! T'y connais rien en plus, ici y 'a pas de différence, du moment que t'es cool et décontracté, ça le fait. T'occupes et soutiens moi.
Marc se tourna vers ma mère qui semblait ravie par ce début de soirée.
- Ca vous plaît!
- C'est parfait, j'avais peur justement que l'endroit soi trop "jeune’s" pour nous. Mais on dirait q'il y a même des plus vieux que nous.
- Je suis content que l'endroit vous plaise. Mais la moyenne d'âge risque de chuter, on n'est encore qu'en début de soirée.
- Qu'importe, on est venu là pour s'amuser, n'est ce pas chéri.
Austin n'était plus vraiment à l'écoute il fixait Marc d'une façon étrange, de la méfiance à l'état pur.
- Moi j'emmène votre fils............
- Ca c'est une question intéressante. Ou est-ce que tu l’emmènes ?!
Je crois que là personne ne s'attendait à une réflexion aussi direct de la part du paternel, d'un calme olympien jusqu'ici.
- Chéri.....quel manque de tact. Ou veux-tu qu'il l'emmène; rencontrer des demoiselles bien sûre.
Là je crois, qu'on s'était regardé tous les trois. Limite on avait envie de rire. C'est vrai que c'était pas très cool parce si elle savait ce qui nous préoccupait tout les trois à l'instant, elle nous aurait sûrement déjà virer de sa vie. Mais fallait avouer que la situation était presque comique.
- Non mais votre mari à raison. Il s'arrêta un instant et fixa Austin intensément. Après tout,  il défend ce qui lui appartient.
- Oui mais il y'a des façons plus poli de dire ça. Ton fils n'a plus 12 ans.
- Certainement.......
Marc le fixait toujours avec un sourire qui voulait en dire long.
- Je l'emmène juste faire un tour dans les back stage, j'ai mes entrée un peu partout. Et puis je me suis dit qu'une soirée avec votre femme en tête à tête ne vous ferait pas de mal.
- Mais quel garçon prévenant.
- Oui maman, il est comme ça Marc.......
Je lui tapotais le dos pour qu'il arrête ces petites allusions perverses, parce que l'a l'ambiance devenait carrément électrique.
- Allez -y les enfants, allez briser des coeurs!
Je m'éloignais rapidement en tirant Marc par la manche; lui semblait vouloir continuer l'offensive.
- C'était quoi ce petit jeu?
- Oh! Tu m’agresses comme si c'était moi qui avais commencé.
-T'aurais pu t'abstenir de continuer.
- Il est dingue de toi, je le vois quand il te regarde. Le pire c'est qu'il a de plus en plus de mal à le cacher à ta mère.
Va falloir trouver une solution et rapidement si vous voulez pas qu'elle souffre. Mais de toute façon elle souffrira de toutes les manière, faut juste choisir celle qui fera le moins mal.
- Et tu crois que je ne le sais pas.......
- Eh! Commence pas à déprimer, je t'emmène à la véritable fête.
-  Ah la quoi?
Je  m'apercevais enfin qu'on venait  de traverser cette immense salle qui était d'ailleurs de plus en plus bondé, et dans un coin plutôt reculé un nouvel agent de sécurité était posté devant l'entrée d'un couloir étroit. Une fois encore Marc nous fit rentrée sans problème. On prit ensuite les escaliers, eux aussi éclairé par des spots rouges étincelants. On monta à peu près deux étages entourés par quelques couples qui se roulaient des pelles sévères, presque qu’à se déshabiller sur place. Le plus étonnant c'est qu'il y'avait un couple de lesbiennes qui s'en donnait à coeur joie.
- Tu m'emmènes ou exactement?
Une nouvelle porte en cuire s’ouvrit et là devant mes yeux des dizaines et des dizaines de corps qui se mélangeaient, des homos et des hétéros qui dansaient les uns avec les autres.
- Nous voici à l'étage, ou toutes les folies sont permises. On l'appelle l'étage des Bi. Il met même arriver d'embrasser des femmes ici, l'atmosphère et muy caliente...... Oh! Voilà la cavalerie.  
Une foule de jeune gens abandonnèrent la piste pour se jeter littéralement sur lui, l'embrassant tantôt sur la joue ou tantôt sur les lèvres.
- Te voilà enfin, ils sont tous chaud ce soir. J'en ai repéré quelque uns pour toi.

- Désolé les gars, ce soir j'ai ce qu'il me faut. Et je ne pense pas que je trouvais mieux.
Je fut à la fois flatté et offusqué, il me traitait comme sa chose, et ses potos c'étaient pas mieux, ils me détaillaient tous avec un regard vislard. Apparemment ils acquiesçaient son choix.
- Alors qu'est ce que t'attends, allez le DJ, met toi au boulot!

- Ouais,  j'y vais, je vous laisse prendre soin de lui.
- Eh!! Tu ne me laisses pas seul là! T'es DJ?
Il me fit un clin d'oeil et m'embrassa furtivement.
- Tu sais parler Anglais, j'espère?
- Mais........
Il fit un petit signe de tête au autres, qui m'entraînèrent avec eux vers la piste tandis que je voyais marc gravit les quelques marches de l'estrade ou un autre Dj s’exerçait déjà. On lui passa le relais et il capta vite l'attention des jeunes fêtards. Il mixait un morceau de Joachim Garot, devant un comité d'accueil extrêmement chaleureux. J'en voyait déjà  certaines lui lancer un soutient gorge et même un mec lui lancer son caleçon. C'était du délire. Il était doué, j'avais l'impression que tout le monde était contrôler par sa musique. Des mouvements lents et saccadés, un peu trop sensuels pour moi du coup. Je n’étais plus vraiment en forme pour danser aussi explicitement avec autant de partenaires différents. Ca dépassait complètement mes capacités ce soir. Mais les potes de Marc n'étaient pas du même avis. Je sentais leurs mains s'étaler sur moi à des endroits qui ne leur étaient nullement réservés. J'essayais de les repousser mais ils étaient au moins trois sur moi, et apparemment la plus part était saoul. J'essayais de régler ça aussi pacifiquement que je le pouvais, avant d'être dans l'obligation d'utiliser mes points.
- Stop it please, Stop it.
Mais ça n'avait pas eu l'effet escompté.Et là ça commençais vraiment à me saouler. Je me préparais mentalement  à leur foutre une raclée lorsque une main puissante me tira de là.
- Il vous à dit de vous arrêter, non. Vous avez de la merde dans les oreilles ou vous êtes tellement saoul que vous ne tenez plus debout.
- Et t'es qui toi!
Austin choppa par le col le petit con de canadien qui osait lui répondre.

- C'est mon mec, connard! et si tu ose encore poser une main sur lui, je te promet que ta super soirée tu la passeras à l'hôpital.
- .......C'est le gars de Marc, lui!
Austin le poussa si brusquement qu'il s'étala par terre, mais personne ne semblait réellement y prêter attention sauf ses amis qui se chargeais de le ramasser, apparemment c'était courant dans la boîte.
- Oh non, sûrement pas! Il se tourna vers moi et dieu qu'il était beau quand il se foutait en rogne. Allez, viens on y va.

Je le suivais machinalement, ma main dans la sienne, à travers tous ces excités qui suaient à grosses goûte.
Je pensais qu'on allait rejoindre ma mère mais on prit le chemin inverse, vers le fond de la salle. C’était un endroit très isolé ou un immense rideau de velours mauve foncé était accroché.
On passa le rideau et je vis une étendue de petites salles recouvertes de sofa et de murs rouges. Ils s'étalaient sur toute une rangée, et certaines, celles qui étaient vide avaient leurs portes ouvertes. Un homme plus efféminé que les deux autres semblaient garder les lieux patiemment assit sur un siège. Austin me lâcha la main et alla s'entretenir quelques secondes avec l'homme qui lui fit son plus beau sourire en le voyant. Je le vis remettre un billet discrètement  à ce petit con qui ne se gênait pas pour l'aguicher et lui, 'il ne faisait rien pour l'arrêter.
- Allez, rentre!
On passa la porte et je l'entendis la refermer brutalement. Il s'assit et saisit la bouteille de champagne de son bac à glaçon. Il l'ouvrit et porta la bouteille à ses lèvres.
- Ahh!..........100 euros se putain de champagne et 100 de plus pour 1heure avec toi. Vous allez me ruiner.
-  Qu'est ce que tu attends de moi, pourquoi...............
- Chut! Je n'ai pas abandonné ta mère à ses nouvelles amis pour t'entendre parler,  en tout cas pour l'instant..........Prouve moi juste........ Qu’il n'est rien pour toi!
Il fixait ardemment mon jeans qu'il jugeait sûrement  inutile  sur moment. Je ne répondais rien et me contentais de l'ôter bien sagement. Il ne me lâchait plus des yeux tandis qu'il se rinçait la bouche au champagne.
Je m'approchais et il répondit immédiatement à ma pensée en écartant ses jambes. J'étais  toujours debout entre ses cuisses, la chemise entrouverte et surtout  le boxer beaucoup trop serré pour mon entrejambe.
- Si tu penses que je vais t'aider. T'es capable de te branler tous seul, non? Tu me l'as prouvé mainte et mainte fois.
Je fis glisser lentement le dernier tissu fin qui servait de mince barrière à mon érection déjà proéminente. Je pris mon sexe en main et fit des mouvement de va et vient sous son regard  attentif. Je prenais de plus en plus de plaisir les yeux fermés, à l'imaginer près de moi à me dévorer des yeux tandis que ma main s’agitait  sur mon pénis qui en voulait toujours d'avantage. Je fut obliger de m'accroupir tellement la sensation était bonne. J'en profitais pour me saisir de sa braguette au passage.Il semblait vouloir jouer les voyeurs mais je tenais à ce qu'il participe.
Avec difficulté mais une certaine concordance dans mes mouvements, je le suçais vigoureusement et avec plaisir tout en continuant à me masturber. Il n'avait pas protesté quand j'avais saisis son pénis dans ma bouche mais il voulait  me faire gober qu'il ne ressentait rien, toujours dans l'optique de me punir au sujet de Marc, j'imagine. Mais je savais que j'étais plutôt doué pour ça et rapidement je le sentis réellement prendre du plaisir.
- J'en peux plus là............ si ton but c'était de me punir, t'as réussi...........prends moi!
- SI tu crois que c'est aussi facile...........Ahhh!.........il..........il en faudra plus Antonio.
J'accélérais la cadence pour le faire jouir comme un malade. Ce que je fit assez rapidement, je consentis même à avaler son sperme. Ce n'était pas dégelasse mais j'aurais tout de même préféré goûter sa salive.
Je repris le contrôle de ma bouche en suçant mon doigt, de façon très subtile, n'est ce pas?
- Si tu ne veux pas m'enculer je le ferais moi même.
C'est ce je fit d'ailleurs, mon doigt pénétra mon anus qui était déjà légèrement dilaté. C'était la première fois mais j'avais l'impression de savoir tout  faire quand il était là. Mon petit manège plus ou moins agréable dura quelque secondes jusqu’à ce qu'il n'en puisse déjà plus.
- Viens.......
Je m'empressais de placer mes jambes de chaque côté de ses cuisses tout en me cramponnant au dossier en velours rouge.
- Je ne ferais pas ça en douceur, mon ange.
Il me pénétra d'un coup sec sans aucune préparation au préalable. Ca faisait mal mais ça ne l'empêcha pas de continuer, il me pénétra de plus en plus fort jusqu'a ce qu'une larme échappe à mon contrôle et qu'il s'en aperçoive.
- Hum!........tu as mal.
- Oui, un mal de chien...........
- Alors tu sais ce que je ressens maintenant quand je te vois tous les jours avec ce gamin.
- C'est toi qui m’as imposé ça.
- Pourquoi tu n'as pas dit stop..........
- Parce que si c'est toi........... Je peux tout endurer............
Je l'embrassais sans qu'il ne s'attende à ça, et relançait de ma propre initiative des coups de reins plus doux et plus lents.
- Ah!.......Pourquoi Antonio.
- Ah, Ah!..........tu n'as toujours pas compris.......
Je délaissais le sofa et passais mes bras autour de son cou. Je léchais le lobe de son oreille tout en déposant ces quelques mots.
- Je t'aime Austin.
Il me regarda un instant et prit mes lèvres avec passion. Plus un mot ne sortit de nos bouches après ça.
Nos deux corps ne faisaient plus qu'un. J'étais passé  d'une souffrance insignifiante à l'extase parfaite.

Je me rhabillais rapidement  un malaise c'était installé et j'en connaissais la cause, je venais de lui dévoiler des sentiments qu'il ne devait sûrement pas partager. Au début vu sa réaction je pensais qu'il y avait de l'espoir mais maintenant je savais que c'était foutu. Je m'empressais de remettre mes shoes et d'ouvrir la porte, déjà les larmes aux yeux.
- Dé......désolé de t'avoir escroqué  de 15 minutes sur ton temps de réservation.........il y a eu erreur sur la marchandise.
- Attends!
Je ne l'écoutais pas, Il fallait que je retrouve Marc le plus vite possible pour me caser d'ici. Je n'eu pas à aller bien loin il se tenait juste devant moi.
- Je t'ai cherché partout.......qu'est ce qui se passe Antonio? Il regarda tour à tour,  mon père qui s'était arrêté juste un peu plus loin, et moi qui pleurait déjà à grosse goûte.Qu'est ce qu'il t'a fait?
- Antonio ne fait pas ça........... Chuchota Austin sans qu'aucun des deux ne l'entendent.
J'en pouvais plus et me jetais dans ces bras. Ce n’était sûrement pas la meilleur chose à faire mais à ce moment là j'avais besoin de ça, de quelqu'un qui comprenait ce que je vivais.
- Antonio calme toi! Je vous cherchais, tous les deux.........Ta mère a fait un malaise!

On dit souvent qu'un malheur n'arrive jamais seul.............

 

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 Désolé de vous avoir fait autant attendre, ce n’était vraiment pas voulu. J'espère que ce chap vous plaira^^.

*En bleu et italique c'est les paroles en anglais
* et en gras, noir et italique c'est les descriptions qui vont avec les dialogues.

La suite dans le courant de vendredi si tout va bien; bah du coup c'est pour le 21!!
Bon je suis un peu à la bourre, comme vous l'avez sûrement remarqué, mais le chap sera bientôt là.

Par historyshare - Publié dans : Le lien paternel- terminée *-*
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Samedi 6 septembre 6 06 /09 /Sep 02:31

Message de prévention pour ceux qui seraient choquer avant même d'avoir lu l'histoire. Je fais ça pour éviter les abus et pour sauver cette histoire. Donc voilà, si vous vous interessez de près à cette histoire et que vous lisez les chapitres au delà du premier vous verrez peut-être que c'est une histoire d'amour entre deux être consentant , qui passe par des difficulté pour avoir le droit de s'aimer, tout simplement. Si voulez en savoir plus il faut lire l'article dans notes de l'auteur petit problème. Mais n'oubliez pas qu'avant tout c'est une fiction, pas complètement irréaliste mais voilà ce n'est qu'une histoire. Sur ce bonne lecture.

 
Un calme olympien avait envahi la pièce, et mon père ne cessait  de me fixer avec ce regard accusateur comme si il nous surprenait en pleine action. C'était effrayant et très sexy à la fois, parce qu'il me regardait d'une façon, c'est clair soit il s'apprêtait à m'envoyer une volée monumentale ou alors à prendre ma bouche comme un vorace.
Cette situation assez dérangeante, m'excitait étrangement.Mais bon! Même si ça m'excitait, ça ne résoudrait pas le problème, comment j'allais justifier cette situation plus ou moins suspecte.
Alors que mon cerveau carburait  à mille à l'heure, ma bouche elle n'arrivait à émettre que des bruits bizarres, des débuts de mots, dont je n’arrivais pas à sortir la fin. Je m'enfonçais dans une sorte de confession malgré moi, sous les yeux de plus en plus menaçants de mon  père.
- Euh, c'est........
- Rien du tout en faite!
Je me retournais vers Marc, qui venait de rentrer officiellement dans la conversation. On dirait bien que le trouillard qu'il était, faisait preuve de plus de courage que moi sur ce coup là.
Mon père avait reporté toute son attention sur lui, voyant qu'il ne tirerait plus rien de moi.
- On revient juste d'une fête. Excusez-moi c'est moi qui l'est entraîné. On ne voulait réveiller personne, on est rentré un peu tard. Moi je sortais juste des chiottes, quand je vous ai entendu sonné.D'ailleurs je ferai  mieux de remettre mon pantalon.
Il réajusta son jeans et le reboutonna.
-.....Ouais c'est ça, et moi.....j'allais justement prendre une douche là, j'ai hyper chaud. C'est pour ça  je suis à moitié à poil. Tu vois, y' a rien........tu t'inquiétais, de quoi?!
Je décelais dans son regard une petite pointe de sarcasme, genre "je suis pas dupe arrête de raconter des salades", mais qu'il ne pouvait pas exprimer oralement de peur d'éveiller les soupçons, il devait jouer le rôle du père qui ne se doute pas une seconde que son fils bien aimé puisse avoir des tendances homosexuelles, même s'il y était pour beaucoup dans l'histoire.
- Oh! Mais de rien, je ne m'attendais pas avoir mon fils veiller à une heure pareille, c'est tout!
On entendit alors des pas dans l'escalier, apparemment notre petite soirée n'était pas passée inaperçu. 
- C'est quoi tout ce monde ici...............Austin! Qu'est ce que tu fais là si tôt.
L'arrivée de ma mère nous surprit et ne nous rassura pas des masses.Vêtu d’une jolie robe de chambre et d’un fin peignoir qu’elle referma par un simple noeud, elle alla embrasser son mari chaleureusement, pour ensuite s'attarder sur les deux jeunes hommes qui lui faisaient face.
- Vos aller-retour dans la cuisine mon réveillé puis la sonnette a terminé le travail. Qu'est ce que vous faites debout à cette heure-ci?
- Laisse tomber chérie, ils ont fait la bringue toute la soirée. Tu te souviens de nous, à l'heure âge.
- Toi peut-être mais moi je m'occupais de mon fils, qui avait déjà 2 ans!
- Tu sais ce que j'ai voulu dire.
- Oui mon chéri, mais vous deux vous devriez allez vous couchez.
- C'est ce qu'ils allaient faire n'est ce pas?
- Oui, oui!
Dire nous dans une même voix.
Nous allions monter lorsque je rattrapais Marc, me souvenant soudain de quelque chose.
- Le dvd de cul.
- Quoi t'as peur que ton père le voit.
- Non, ton grand-père ouais!
- Ok j'arrive. 
- Bon! bonne nuit les parents.
je glissais ça rapidement n'attendant pas que Marc me rejoigne et  m'empressais de monter les marches.

Marc appuya sur la touche éjecte et prit le CD qu'il glissa dans la jacket dissimuler juste au-dessus du compartiment vidéo. Il prit la direction de sa chambre ou apparemment, Antonio s'y était déjà rendu. Le DVD sous le t-shirt et le t-shirt d'Antonio dans une main il passa devant ses parents qui commençaient déjà à bouger les deux valises restées près de la porte.
-Euh......vous voulez de l'aide?
Karine lui fit un sourire resplendissant, tel qu'on les voit dans les films et Marc ne put s'empêcher de penser que si Antonio était aussi craquant, c'était en grande partie grâce à elle.
- Merci Marc mais je pense qu'on y arrivera seule. Va plutôt te coucher. Et dis à Antonio de suivre un peu ton exemple, j'aurai moins l'impression d'avoir un fantôme en guise de fils.
- Ok, je lui dirais.
Il disparut ensuite, laissant les deux jeunes parents à leurs affaires.
- Au fait, pourquoi il y irait lui dire une chose pareille, à une heure aussi tardive.
- Je ne sais pas j'ai dis ça comme ça, il dorme dans la même chambre alors il lui glissera ça dans l'oreille, j'imagine. Mais reconnaît que c'est dernier mois on ne l'a pas vu beaucoup, je sais que vous deux ce n'est pas facile en ce moment, mais c'est normale il est à l'âge ou il ne peut pas encadrer ses parents........
-Ils dorment dans la même chambre?
- Qui?
- Les garçons?
- Euh, oui, ou veux-tu que ma mère les mette!
-  Je trouvais juste qu'il avait une mauvaise affluence sur Antonio. Il vient juste de m'avouer qu'il l'avait entraîné dans une fête stupide.
- Tu crois que notre fils n'est pas capable de prendre ses décision tout seul. S'il a suivit Marc, il est aussi responsable que lui. 
- Je dis juste que c'est pas une heure..........à les surprendre tous les deux, à moitié.........
- A moitié quoi?
- Non rien.........oublies.......après tout ils sont en vacances.
- Ca c'est bien dit, et ne t'inquiète pas, Marc est un garçon très bien, très intelligent et notre fils aussi. Ils ne prendraient pas des risques inutiles.
- Si tu le dis........ [Tout à ses pensées] moi, je ne vois pas ça d'un très bon oeil.


Le soleil était radieux et me tapais déjà en pleine gueule. J'ouvrais les yeux avec une pensée en tête. Enfin, la même que celle d'hier soir avant de sombrer dans un profond sommeil: qu'est ce qu'il foutait là. Après tout ce qu'on avait convenu, fallait qu'il gâche tout. Déjà que Marc compliquait bien les choses. Je ne savais plus quoi penser surtout que j'avais bien sentit le malaise hier soir. Il n'avait sûrement pas gober le charabia de Marc et encore moins le mien. Et tout ça m'enseignait que cela ne lui plaisait pas, qu'il était tout simplement jaloux et que tout sont baratin pour qu'ont reprenne nos petites habitudes familiales, il n'y croyait pas une seule seconde. Moi non plus d'ailleurs. Mais si ça pouvait le rassurer qu'on fasse semblant, je n'étais pas contre. De toute façon je n'étais pas vraiment  chaud pour me laisser piéger à nouveau, ça faisait beaucoup trop mal.
Sur ces bonnes paroles je me levais. Marc n'était pas dans son lit, mais ce n'étais  plus vraiment l'une de mes priorité, veiller à ce qu'il respecte les termes du contrat. Hier soir avait comme qui dirait, remis pas mal de truc en question, bien malgré moi. Je prenais une douche rapide avant de descendre en bas et de retrouver toute la famille agglutiner sur la terrasse, entrain de prendre un petit déjeuner bien copieux.
- Et voici le dernier lever, comme toujours. Il est presque 11h et Antonio émerge enfin.
- Merci grand-père......
Toutes les femmes  y compris la fillette se moquaient de moi tandis que les hommes esquissaient un sourire. Je m'installais à table juste à droite de Marc -d'ailleurs j'étais agréablement surpris de le voir là- et remplissait mon assiette à rebord avant lui chuchoter dans l'oreille ma satisfaction de le voir debout ce matin.
- Je vois que t'as fais de gros efforts, ça me fait plaisir de te voir là.
A son tour il approcha ses lèvres de ma peau, et murmura sa réponse tandis que je croisais le regard de Austin, de mon père si vous préférez. 
Mais, ouais j'avais compris autre chose ce matin: je ne pouvait plus appeler papa un homme pour qui je n'avais plus du tout les même sentiments. Je ne pouvais plus prononcer ce mot sans ressentir une pointe de culpabilité pour tout ce qui c'était passé. Je m'étais bien garder de lui raconter ce changement en moi. Je me sentais honteux tout simplement, mais ça depuis le début. Sauf que depuis un certain temps, ça commençait à empirer. Je me rendais compte que lorsque que l'on tombait amoureux, réellement amoureux, il fallait plus que quelques mois de dépression pour oublier ce sentiment. On pouvait le cacher mais jamais l'oublier.
Tout ça pour dire qu'il me fixait avec un regard tellement étrange, entre colère et douleur, que ça me faisait mal au coeur. Je m’apercevais que je n'étais pas si insignifiant pour lui d'après la façon avec laquelle il me faisait sentir que cette relation avec Marc ne lui plaisait pas du tout.
Soudain je le vis se lever coupant ainsi court à notre échange silencieux. Il avait l'air mal et j'étais le seul à m'en apercevoir. Une boule s'était nouée  dans ma gorge, je ne pouvais pas le laisser partir comme ça. Je me levais aussi vite que lui inquiet de la tournure que prenait les choses.
- Austin......
J'avais presque crié son nom, attirant ainsi tous les regards sur moi y compris le sien qui me scrutais avec une expression si indéchiffrable que je préférais rompre le contact le premier.
- Depuis quand tu appelles ton père comme ça?
- C'est son prénom, non?
- Oui, mais tu l'appelles papa d'hab..........
- Laisse tomber chérie, au contraire, je suis ravi de savoir qu'il connaît toujours mon prénom.
L'assemblée apprécia la blague, tandis que l'on se regardait à nouveau, contient qu'on ne se sentait pas du tout dans le même état que les autres.
- Qu'est ce que tu veux Antonio?
A ce moment là je ne voulais qu'une chose: lui, lui et encore lui.
- Du sel...... s'il te plaît.
- .........ok!je te ramène ça!
Je me rasseyais, vidant le contenu de mon assiette, silencieusement. Marc me regardait, mais je ne me doutais pas une seule minute qu'il était en pleine réflexion sur la scène particulière à laquelle il venait d'assister quelques instants plus tôt.

- Bon, mon chéri soit sage, on sera là en fin de journée. Si vous sortez faites attention sur la route. De toute façon c'est Marc qui conduit, tu n'as même pas intérêt à tenir un volant.
- T'inquiètes maman, je conduirais pas.
- Ok, je te fais confiance... Allez on vous quitte, maintenant!
Je disais au revoir à la petite troupe, recevant les baisers gluants de ma grand-mère et les tirages de langue de ma petite soeur. Mon père me fit un signe rapide évitant une confrontation direct, pour aller aider mon grand-père à accrocher son bateau sur son semi-remorque. Une fois tous ce petit monde partie à un pique-nique improvisé sur le bateau familiale, je me ruais vite fais vers le jardin avant de me désaper et de sauter dans la piscine.
Je m'appuyais contre le rebord, dorant au soleil les yeux mi-clos, appréciant le calme de la situation  à l'exactitude opposé de celle de ce matin.
Peinard dans dans le bassin, j'entrouvris les yeux, dérangé par des petits pas trop bruyant à mon goût. Marc traversait le mini jardin, en tenue légère, c'est à dire une serviette autour de la taille pour seul vêtement, laissant son magnifique torse imberbe prendre le soleil.
- Je peux venir?
- Ouais, biensûre.
Il vira sa serviette et avec son maillot façon shorty il pénétra dans l'eau passant sa main sur sa nuque et sur son torse pour  les humidifier un peu avant l'immersion total. Une fois ruisselant de partout, tel un dieu grec, il me rejoignit sur le côté s'essayant à proximité relaxant tous ses muscles dans un soupir de plaisir. 
Après cinq minutes passé ainsi sans qu'aucun de nous deux ne tentent quelque chose, j'étais plutôt perplexe.
C'est vrai que je m'attendais à ce qu'il tente quelque chose, j'en avais pas spécialement envie mais j'étais pas non plus insensible à ce point. En fait,  j'étais plus préoccupé à me demander ce qu'il préparait qu'a vouloir réellement qu'il agisse. Mais je n’allais pas tarder à le savoir. 
Alors que je travaillais mon bronzage Marc jouait avec ses mains en caressant l'eau et en l'éclaboussant, comme un gosse de 5ans. En fait je crois bien qu'il voulait me dire quelque chose mais qu'il n'osait pas.
- Bon crache le morceau si t'as un truc à dire!
- Moi, j'ai rien à dire.
- C'est ça.... mais si t'as envie de faire chier ton monde fais le loin d'ici.
- C'est le soleil qui te rend comme ça ou c'est naturel chez toi.
- Ta gueule, monsieur je flippe pour un rien. C'était pitoyable, hier.
- Disons que c'est ton père qui me rend nerveux. Y a pas que moi d'ailleurs.
- Et je dois comprendre quoi là?
- Que ton père est vachement, hum!..........tu vois ce que je veux dire. Je me suis fais un mec dans genre une fois, j'avoue que c'était le pied au pieux......
- Ferme là, de quel droit tu dis des trucs pareil. Ne pense même pas à le toucher, il est........
Je m'arrêtais net, ce n’était pas très judicieux d'aller plus loin.
- Il est quoi?
- Rien............
Son sourire me nargua de plus belle, lui non plus n'était pas dupe.
- Ton père te fait un effet monstre, je me trompe?
- Ok je vois ou tu veux en venir, arrêtes toi là tout de suite!
- Pourquoi, depuis qu'il est là t'es plus le même, tu me vois même plus. Ce gars te chamboule la tête et je l'ai bien compris ce matin au petit dej que c'était réciproque.
- Arrête de raconter de la merde...........comment tu peux croire que je me  tape mon père, t'es quel genre de gars pour dire des conneries pareilles.
- Ah! Vous en êtes déjà la, tu sais j'ai le flaire pour les histoires dans ce genre. Mes vous deux je l'ai toujours su je crois.
- Et comment t'as fait en 24h.
- Je ne parle pas d'hier gamin. Je parle  d'il y a 5 ans. Je me rappelle bien de toi, je te faisais chier comme pas possible. Je crois bien que j'étais jaloux, je trouvais que t'avais une relation géniale avec ton  père très fusionnelle, trop fusionnelle. T'avais qu'un mot à la bouche c'était lui. Dès que je discutais avec toi il y avait qu'un truc qui t'intéressait, raconter sa vie, parler de lui. En réfléchissant je me suis dis que c'était pas qu'une simple relation père fils, c'était bien plus. Je ne veux pas te choquer mais tu l'aimes, d'après ce que je vois. 
- Mon père ne m'as jamais touché, t'entends! Arrêtes de raconter des........
Je ne voulais même pas finir, parce que là j'étais près à fondre en larme. Tout  ce qu'il venait de me dire je pensais l'avoir oublié depuis des années. Complètement mis à nue, je voulais disparaître parce que s'il continuait à me torturer comme ça j'aurai chialer en direct. J'eu même pas le temps de faire un pas qu'il bloqua toute avancée.
- Ok je suis un peu direct, mais je voulais savoir ce qu'il y avait. Je te juge pas je veux juste savoir.
- Il n'y a rien .........
Son corps était collé au mien et ses deux mains me maintenaient les bras, de sorte que je ne m'échappe pas.
- Ok gars, alors prouve le.
Son visage était proche et me dévorait avec envie. Je ne voulais pas l'embrasser mais je voulais faire le nécessaire pour qu'il oublie cette histoire qu'il connaissait trop bien, maintenant.
Je sautais la partie regard de braise avant de passer à la pratique et m'emparais de sa nuque pour pousser sa bouche à rentrer en contact avec la mienne. Je ne l'embrassais pas vraiment je le laissais mener essayant de prétexter que je prenais du bon temps, alors que j'aurai préféré être dans les bras d'un autre. Sa bouche reprenait la mienne de plus en plus profondément, avec plus de brutalité, pressant mon cou et mon dos contre son corps musclé. Heureusement qu'il embrassait bien, sinon je n'aurai éprouvé que du dégoût à faire ça. Mais finalement sa technique fit la différence et après deux bonnes minutes je me laissais un peu aller, passant mes bras autour de son cou et laissant les siennes tripoter mon cul. Il commençait déjà à coller son érection contre mon pénis qui n'était pas des plus dur pour l'instant, et à passer sa main dans mon maillot, contre mes fesses, lorsque qu'un râle très distinct se fit entendre nous coupant tout les deux dans notre élan.
Et devinez qui ce tenait là, eh bah oui! Il choisissait toujours son moment pour apparaître.
On s'éloignait l'un de l'autre rapidement et qu'en à moi je me tassais dans l'eau, incapable de le regarder, je ne matais que ses shoes.
- Je venais juste chercher la glacière.........
- Ok, monsieur.
-............je vous laisse.
Une fois ses pompes disparues, je me laissais coulé, pour rester sous l'eau le plus longtemps possible. Fallait que je me débarrasse de toutes mes ondes négatives, parce que le destin n'était vraiment pas tendre avec moi.
- Wouah! Ton père avait l'air abattu,  on y est allé un peu fort. Je crois qu’il n’a pas du tout apprécié.
- Tu serais comment toi, si tu voyais ton fils embrasser un autre mec.
- Ou mon mec embrasser un autre mec, tu veux dire. Par contre je serai fière je pense si c'était mon fils, je dirais qu'il a de bon goût.
- Tu ne m’aides vraiment pas toi, comment je fais moi, je ne vais pas m'amuser à lui courir après.
- Clair! Faut jamais courir après un mec surtout quand c'est aussi compliqué. Ca ne rend service à personne.
Je me laissais coulé à nouveau sous les yeux amusés de Marc qui semblait apprécier la tournure que prenaient les choses.
- T'as l'air aussi abattu que lui. Vous faites vraiment la paire. Mais t'inquiètes tu vas retrouver le sourire, ce soir je t'emmènes en boîte. Tu vas voir au Canada ça n'a rien à voir avec les boites françaises, tu vas t'amuser.
- Laisse moi, tu ne trouves pas que tu en as déjà assez fait comme ça!
- Allez viens, une soirée bien déchirée et tu te sentiras mieux!
- .............Ok, mais tu me lâches maintenant, tu me lâches!
Je sortais de la piscine et prenais ma serviette avant de rentrer dans la maison, tout ruisselant de tristesse et de découragement.
                            
                                   _________________________________________________________

Ca fait des siècles que je bosse sur  ce chapitre, c'est simple, jamais le temps de le continuer, toujours un truc à faire.Mais voilà une bonne chose de faite à l'heure de la reprise des cours. Je ne suis pas loin de la fin alors je vais essayer de finir celle-ci d'abord, mais je promets rien.

 

Par historyshare - Publié dans : Le lien paternel- terminée *-*
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Vendredi 18 juillet 5 18 /07 /Juil 14:59



 

C'est bon jeune homme, c'était le dernier point de suture. Rhabillez vous.
Wily se leva péniblement sous la pression des sept points de sutures, serrés eu maximum et enfila le t-shirt qu'il avait sous la main. Il prit ensuite sa veste qui traînait sur le côté puis se tourna vers le médecin qui nettoyais avec  du coton et de l'alcool les instruments qui venaient de le charcuter pendant plus d'une demi-heure.
- Tenez.
Il lui tendit un papier que Willy prit entre ses doigts.
- Donnez le à l'accueil pour la petite intervention.
- Ok.
- Il faudra revenir nous voir dans une semaine pour retirer les points de sutures. La plaie aura guérit d'ici là.
- Ouais mais je peux pas moi, la semaine prochaine je suis plus là.
- Oh! Il faudra veiller à se faire soigner sur place. Ou allez vous?
- .......New York.
- Wahh! C a c'est une belle ville, on est jamais déçu à New York......mais il faudra consulter un médecin sur place.
-Quand est-ce que vous partez?
- Demain.
- Eh bien, j'espère que votre valise est prête.
- Humm! 
- Et vous partez avec l'ami qui vous accompagnait.
Willy trouvait ce médecin trop curieux et sa dernière question l'exaspérait plus qu'autre chose. Il eu un petit rire nerveux avant de répondre.
- Non......ça, ça ne risque pas.

Willy sortit de l'immense bâtiment qui empestait de produits chimique en tout genre, puis  Il se tâtonna une seconde et sortit un paquet de clops à moitié plein. Il ne fumait pas souvent juste de temps en temps, quand il était stresser, pour dire vrai on le taxait plus qu’il n'en fumait. Il l'avait depuis plus de deux mois mais à l'occasion ça le détendait.Il inspira une taffe dans un hum! De plaisir puis il attrapa son portable qui traînait dans la poche droite de son jeans.Il savait déjà qui c'était il y a quinze minutes de ça lorsque son téléphone avait vibré dans la poche de son jeans. 
Jordan était resté dix minutes environ avant de s'éclipser, précisant qu'il reviendrait dans pas longtemps.
Eh bien! on l'avait plus revu depuis. Willy regarda l'écran qui affichait un message non lu. Il appuya sur les touches convenues et lu son contenu.


             Rejoins-moi au Coffee Land, dès que t'as fini, c'est sur la rue 
             parallèle  à l'hôpital, près d'un grand magasin de chaussures.

Il referma énergiquement le clapet de son téléphone, énervé par le comportement de ce mec qui le faisait tourner en bourrique depuis ce matin.  Surtout qu'il savait qu'il ne l'aidait pas pour quedal. Il attendait quelque chose  en retour, comme tout ceux  qui l'avait aidé auparavant. Ils voulaient tous quelques chose mais en générale il était dans l'obligation de céder mais là,  il comptait, même il devait lui résister. C'est clair que c'était plutôt mal parti, mais il fallait qu'il arrête cette relation avant qu'elle n'aille trop loin. De toute façon ça ne les mènerait nul part, il partait demain et il n'était même pas sûr de revenir un jour. Et puis c'était un mec même s'il s'apercevait qu'ils avaient pas mal de chose en commun, c'était toujours aussi difficile à admettre cette attirance si inexplicable pour lui............ mais alors, malgré tout, pourquoi allait-il toujours vers lui?

Willy poussa la porte du Coffe Land, un petit café tranquille sur un des boulevards principaux de Philadelphie. Il tourna un petit moment, jusqu'a une table au fond de la salle assez a l'écart du comptoir imposant. Où était assit  une clientèle peu nombreuse. Jordan était là, assis tranquillement, un livre dans une main et un café dans l'autre. Il ne prêta même pas attention à l'arriver de  Willy, qui en fut fort  vexé. Il l'ignorait tout bonnement alors qu'il lui fixait rendez-vous après l'avoir lâchement abandonné à l'hôpital.
- Bon! Qu'est ce que tu me veux ?
Jordan ne bougea d'un pouce, toujours aussi concentré sur le bouquin qu'il tenait.
- De nouveau agressif, ou est passé cette douceur, qui émanait de toi il y a quelque heures encore, sur mon canapé.
Willy sentit ses joues s'en pourprer en repensant à ce matin. Il était très embarrassé, il y avait de quoi l'être en même temps! 
- Ta gueule..........oublie cette histoire, je ne veux plus jamais revenir là-dessus. Ca vaut mieux pour nous deux. Et qu'est ce que t'as fichus tous ce temps, tu t'es barré sans rien dire......... je te rappelle que je dois passer récupérer ma bagnole. Alors si on pouvait y aller, je n’ai pas que ça à faire.
Jordan releva la tête, remarquant que Willy pouvait enfin se tenir debout même s'il gardait sa main au niveau de sa blessure, infligée la veille.
-  Ca te fais mal?
Willy fut un peu décontenancé par le réel manque d'intérêt que lui infligeais son interlocuteur, qui semblait bien plus intéressé par sa condition physique. 
- ........ Un peu, mais c'est pas le sujet.
Comme s'il n'avait rien entendu de ses petites réclamations, il continua sa petite inspection, s'attardant sur ce visage parfait, gâchée par quelques hématomes mal placés.
- Ils ne t’ont pas raté, ces connards.........tu ne veux toujours pas m'en parler.
Willy tourna la tête, observant  la rue déjà pleine de monde pour une  fin de matinée. 
- Laisse tomber tu veux........ En quoi ça te regarde?
Jordan baissa la tête et se replongea dans sa lecture, en apparence parce qu'en réalité il n'avait plus lu une ligne depuis que Willy était là.
- Sûrement...................ça ne me regarde pas. Mais en échange, si je te disais quelque chose qui pourrait t’intéresser, à l'occasion.
- Tout ce que je veux moi c'est me barrer d'ici, tu diras tes trucs intéressant à d'autres.
- .........Tu sais ce petit secret il a avoir avec ça.
Il posa dans un bruit sourd, un objet scintillant et allongé, qui capta rapidement l'attention du jeune bouclé. Il s'assit sur le coup, et prit en main l'objet qu'il étudia un instant.
- Une clef............d'un hôtel...........qu'est ce que.........
Jordan posa son livre, contient qu'il était temps, à présent, de mettre son plan à exécution.
- Oh! Ne me dis pas que tu l'ignores?
- Alors c'est ça que tu trafiquais. Pendant que je souffrais, toi tu n'avais qu'une idée en tête, me baiser dans une chambre d'hôtel sordide........arrête de rêver sale con, ça n'arrivera jamais.
Willy sentit, soudain la jambe de Jordan caresser la sienne.
- ..............Arrête avec ta jambe.
Le ton peu convaincant du jeune homme, enseigna à Jordan qu'il était tant de passer à la vitesse supérieure.
- Vire la tiennes, alors.
Comme il s'en doutait, Willy ne fit rien, il était à présent dans le même état que lui; car l'idée d'être dans une même chambre que  Jordan après tout ce qui c'était passé entre eux, le rendait tout un coup fiévreux.
- Je suis pas là pour essayer de te convaincre, je te soumets juste une idée -Il se leva sur ces mots, toujours plongé dans le regard de son vis-à-vis- tu n'es pas obligé de t'y tenir...........en vérité je crève d'envie que tu me saute. C'est intenable, une envie insatiable que je n'arrive plus à chasser.
Il s'apprêtait à partir sous les yeux d'un Willy plus que perturbé par ces confession très personnelles, mais il s'arrêta une dernière fois.
- Tu ne pensais pas que quelqu'un pouvait te vouloir à ce point, surtout un mec. Eh, oui Willy!! peut m'importe que tu sois un mec, bien au contraire............ouais j'ai envie de ta bite dans mon cul.........j'ai chaud rien que d'y penser.Je te choques?! A vrai dire je me choque déjà un peu moi même, alors je n'ai pas envie de taire ce que je ressens pour toi, du coup si ça te dit de t'éclater un peu, je t'attends de l'autre côté de la rue. T'as la deuxième clef, tâches d'en faire bon usage. Ah! Encore une dernière chose, pour le petit truc qui pourrait te servir au passage..........je suis puceau, c'est dingue hein! Que je crève d'envie que se soit toi le premier...... alors si ça te dit de me pervertir, tu c'est ou me trouver.
Il s'éloigna sur ces mots en direction du bâtiment d'en face, hôtel discret sur peu d'étage.
Lorsque Jordan disparût de son champ de vision, Willy frappa du point son front tout en écartant ses jambes. Il passa sa main sur son entrejambe, qui semblait plus que réceptif aux paroles de Jordan.
- Deux trois paroles de merde, et j'ai la queue en l'air.........putain!! Qu'est ce qu'il m'a fait ce con.
Il se leva précipitamment et prit la direction opposé: celle des toilettes.

Il ressortit quelques instants plus tard à demi satisfait. Certes son érection était beaucoup moins proéminente, mais Jordan occupait toute ses pensées et si ça ne se calmait pas, il n'allait pas tarder à retourner aux chiottes.
Il revint près de la table qu'il venait de quitter  quelques minutes plutôt. Il se mit à faire les cents pas, jetant des regards furtifs en direction de l'hôtel, ou se trouvait l'objet de ses pensées.
- Ok Willy!! Faut se maîtriser là. Tu vas pas laisser ce petit bouffon maîtriser ta queue........c'est  juste ces conneries qu'il a balancé, qui m'ont un peu chamboulé la tête......... putain! Mais ça ma tellement excité, l'imaginé la- bas  à m'attendre.........en plus de ça, il est puceau ........au lieu de me foutre de sa gueule ça me rend dingue.
Willy avait les mains appuyées contre la table, et avait fermé les yeux sans le vouloir, passant à présent sa langue sur ces lèvres comme s'il goûtait déjà aux lèvres de Jordan.
- Je ne peux pas.......mais j'ai tellement envie !
Il ouvrit les yeux et vit sa tasse de café vide, seule sur la table hormis un petit papier qui traînait à côté. En prenant ce papier, Willy compris une chose  essentiel: Il devait payer ce café.
-……… Il m'avait bien dit qu'un jour se serait moi qui paierais l'addition.
Il repensa à l'épisode ou il l'avait laissé en plan, payer les deux additions. En ce temps là c'est lui qui menait la danse, Jordan n'était pour lui  qu'un petit bourge qui ne méritait aucun respect. Mais on dirait qu'il avait déjà prévu qu'un jour ce serait à son tour de payer pour lui. Et même s'il ne voulait pas l'admettre, il avait appris à le respecter et à apprécier le gars sympas qui se cachait derrière sa grosse maison et sa bagnole dernier cri.  Puis ce qu'il avait fait pour lui hier soir , il devait reconnaître qu’il y aurai pas grand monde qui aurait fait la même chose.
Un sourire timide se dessina sur ses lèvres.
- On dirait que t'avais tous prévus ...........faut croire que maintenant, c'est lui qui même le jeu, enfoiré.......

Le jeune garçon était assit au bord du lit. Ca faisait déjà quinze minutes environ, qu'il était assit dessus et il se décida enfin à ôter sa veste, qu'il posa juste à côté de lui. Il avait les deux mains entre les jambes, collé l'une à l'autre, entrain de se triturer vigoureusement, trahissant un stress évident.Il avait la tête baisé, presque résigné. Ca ne faisait que quinze minutes mais pour lui, il était là depuis des heures, à attendre patiemment le résultat de ses actes planifiés. Mais apparemment, ça n'avait pas fonctionné comme il l'aurait espéré. Il en avait trop fait sûrement, ça l'avait dégoûté plus qu'autre chose. Pourtant il ne voulait plus cacher ces qu’il ressentait, ce qui lui passait par la tête depuis plusieurs semaines. Mal ou bien, peut importe ce qu'il voulait c'était ce débarrasser d'un poids qu'il le bouffait à petit feu. Mais le coup du puceau, ça c'était un peu trop. Il ne savait pas vraiment ce qu'il avait voulu faire, lui donner envie? En quoi ça l'aurai aidé, c'était les jolies vierges qui donnaient envie  pas les petits puceaux dans son genre. Et puis finalement, après une succession de question dans ce style  il se demandait  pourquoi il avait fait ça, louer une chambre, dans l'espoir de se faire sauter par un mec.
C'était sans doute à l'hôpital, qu'il avait prit sa décision. Il était allongé sur cette table, à moitié nu près à être soigné. Il était si calme et si désirable exactement comme ce matin. Il n'en fallut pas plus à Jordan. Il sortit discrètement, à la recherche d'un endroit, qu'il devait trouver rapidement  pour avoir à nouveau le contrôle de son corps qui lui manquait déjà tant.
Mais à présent il était prit d'angoisses, il le désirait tellement. Il regarda ses mains, à l'image de son état, chaudes et blessé, presque à vif. Il les avait tellement frotté qu'elles saignaient un peu. Il sentit  alors, une larme couler en ligne droite, le long de sa joue. Ca ne servait plus à rien d'attendre.
- Jordan....
Il était tellement occupé à recassé les événements de cette fin de matinée -persuadé qu'il ne viendrait pas- qu'il ne s'aperçut pas qu'une clef avait tourné et qu'un deuxième jeune homme attendait patiemment sur le seuil, son bon vouloir.
Jordan se leva précipitamment et ne bougea plus d'un pouce. Ils restèrent quelques secondes ainsi à se fixer lorsque Willy brisa le silence.
- Et maintenant on fait quoi?
Jordan renchérit presque du tac eu tac. Incapable de contenir ses émotions.
- J'ai cru que tu ne viendrais jamais !
-..........moi aussi je l'ai cru.
Voyant que Jordan c'était réellement fait du soucis pour lui -ça se lisait sur ses traits- Il avança un peu puis ferma la porte derrière lui, qu'il verrouilla d'un coup sec. Il se déplaça légèrement sur la droite, plaçant ses mains derrière son dos et tout son poids sur le mur porteur. Malgré sa présence ici, il flippait complètement, parce que là c'était du sérieux, Il était là pour une raison précise. Avec beaucoup de courage il réussit à articuler une phrase.
- Alors qu'est ce que t'attends. Je suis là maintenant..
Jordan semblait émerger d'un rêve, il n'en revenait toujours pas qu'il se soit décidé à venir. Il croisa les bras et s'empara des deux bouts opposés de son t-shirt, qu'il fit glisser sous les yeux captivés de Willy, qui semblait apprécier le spectacle. Il finit de retirer son vêtement, qui venait d'ébouriffer un peu plus sa tignasse rebelle. Et pour la première fois, il se trouvait torse nu devant Willy. Il redoutait son jugement se demandant si cela lui plairait.
Les filles le trouvaient bien fait en générale, mais maintenant il se trouvait ridicule, loin de rivaliser avec son futur amant.
- J'ai l'air ridicule comme ça........
- ........... Moi je te trouve plutôt bien comme ça...........
Jordan le regarda un instant, il avait l'air un peu gêné, sûrement du à sa remarque des plus ambigu.
- Bien comment?
Willy était de plus en plus gêné. Ce n’était pas trop son truc de faire des compliments à des mecs même s'il les trouvait plutôt à son goût, en particulier celui là.
- J'aime bien......t'as réussit ...........à m'exciter avec ton petit manège.
- Ok........alors touche moi.
Willy hésita une seconde puis finit par s'approcher à quelques centimètres de ce torse imberbe, des plus agréable à regarder. Il tendit la main et frôla dans un premier temps sa poitrine haletante de plaisir, mais Jordan qui  n'était plus vraiment disposé à attendre, pressa sa main hésitante à rentrer en contact avec sa peau, qui bouillait déjà d'impatience. Willy n'émit aucune objection à ce rapprochement soudain et ses hésitations devinrent des caresses douces et langoureuses, mettant Jordan dans tous ses états. En voyant son expression afficher un plaisir certain, il ne résista pas à nicher sa tête dans le creux de son cou, pour y déposer des baisers très sensuels. Il y prenait un véritable plaisir, à goûter sa peau douce et parfumé, sensible à chacun de ses gestes. Jordan, lui pour toutes réponses, fit glisser des mains -qui c'étaient déjà appropriés ses hanches- jusqu'a ses fesses emmitouflées dans son jeans trop serrés. Il se mit à les caresser doucement, les pressant légèrement  tandis que Willy goûtait à présent à présent ses lèvres, passant sa langue sur chacune d’elle, les léchant en les savourant avec délicatesse. Jordan qui subissait ces douces tortures dû maintenant résister à ses assauts, qui devenait de plus en plus tactile.
Il titillait, pinçant presque ses tétons déjà durcit  par ses attouchements si bien ciblé. Jordan resserra un  peu plus l’emprise qu’il avait sur son postérieure, complément excité par ses mains douces, qui s’était pour l’une posé sur sa nuque, caressants ses mèches brunes, et pour l’autre sur son dos, appuyant sur sa peau lisse, de sorte que leur deux  érections étaient appuyées l’une contre l’autre, leurs provoquant à eux deux, une douce sensation. Willy pour accentuer leur plaisir fit de léger mouvements, synonyme à des frottements, entraînant Jordan dans un rythme  lent  et très érotique. De loin comme de près, leur petite accolade ressemblait  à une danse lascive, très charnelle  dirigée par un Willy plus que torride qui provoquait les ondulations et qui obligeais Jordan à s’accrocher à son t-shirt , le déchirant presque. Ajouté à cela, leurs bouches se frôlaient sans se toucher, prolongeant un peu plus l’attente est le plaisir de ces deux adolescents qui semblait avoir une faim insatiable, l’un de l’autre.   
-Arrêtes de jouer, embrasse…….
 Il ne se fit pas prier deux fois. Il s’empara de sa bouche avec force, introduisant sa langue sans attendre qui trouva immédiatement celle de Jordan, se mélangeant à la sienne à une vitesse affolante, comme si elles avaient peur de ne plus pouvoir se réunir si elles venaient à se séparer à nouveau. Leurs lèvres, elles se dégustaient  avec lenteur en parfaite symbiose avec leurs corps entrelacés.
Jordan profita de leurs échanges fougueux, pour ouvrir avec empressement le jeans de Willy qui ne résista pas bien longtemps au désir du jeune brun. Il plongea ensuite, sa main dans son shorty, prenant en main son pénis qu’il caressa avec précision, se rappelant exactement de tous les gestes qui le faisaient gémir ce matin.
 -Ah! Masturbé deux fois dans la même journée, j’en ai de la chance.
Willy reprit ses lèvres jusqu'à ce que Jordan le libère dans un gémissement de plaisir. Sa main était à présent couverte de plusieurs  gouttes de sperme  qu’il lécha sous les yeux  de Willy, qui se sentit de nouveau bouillant à cette vision. Jordan s’extirpa des bras de son beau partenaire et retira le reste de ses fringues avant de monter sur lit double, qui occupait les deux tiers de la pièce
  
- Viens.
Willy  une fois de plus gêné par cette situation  nouvelle, enleva son t-shirt, redoutant ce moment fatidique. Il retira ensuite le reste, se mit sur le lit, et prit la main Jordan qui l’attira à lui. Il s’embrassèrent encore, puis Willy prit son bras et le retourna brusquement, collant son corps au sien. Jordan ne protesta pas contre la soudaine prise de contrôle du plus jeune homme, émoustillé par son comportement entreprenant..Il sentit alors son pénis contre ses fesses, presque qu’entre sa raie et bougea légèrement, gémissant silencieusement lorsqu’il sentit la mai de Willy le projeter en avant. Il se retrouva lui et ses deux bras contre la couette moelleuse, tandis que son bassin et son postérieure étaient surélevés. Il n’était pas dans une position des plus facile, mais bizarrement ça l’excitait grave. Il écarta d’avantage ses jambes pour lui faciliter le travail. Cette pénétration, il l’avait tellement attendu, que tout  son être s’engourdissait d’impatiente et de plaisir. Un cocktail explosif  face à cette à cette verge tendu, qui le frustrait, à lui caresser  l’anus sans pour autant s’enfoncer en lui.
-Qu’est ce que t’attends, tu vas me rendre fou………..Ah !!
Pour toutes réponses, Willy le pénétra profondément, ce qui lui arracha un cris de douleur effroyable, gâchant presque l’instant magique de cette première union.
- J’ai pas pu te préparer……..je sais pas si j’en aurai été capable, je pouvais plus attendre………t’était si beau.
 
Willy se pencha à son tour, recouvrant le corps à demi allongé de son amant, crispé par la douleur. Il caressait son avant bras et lui embrassait la nuque, tout en le rassurant.
La voix si douce te inhabituelle de Willy détendit  un peu son partenaire.
- Relaxes, j’irai doucement ……….tu ne regrettera pas ta première fois.
 Quelques secondes plus tard il retira son pénis avant de le pénétrer à nouveau, sous les traits de douleur de Jordan qu n’était pas encore habitué. Mais le troisième coup de rein le fit moins souffrir, puis le quatrième aussi, jusqu'à ce que  la douleur insupportable du début, s’évanouisse, laissant deux corps secoués de spasmes et de plaisir. Jordan s’accrochait aux draps tandis que Willy le prenait avec fièvre, sa main encerclant son ventre, son torse contre son dos et sa tête posée sur la naissance de ses épaules. Willy s’enfonçait de plus en plus loin, dégoulinant de sueur. Leur endurance était impressionnante, mais ils étaient si bien l’un dans l’autre que pour rien au monde ils n’auraient voulu que ça s’arrête.
Dans ce dernier effort il gémit avec force, rejoint l’instant d’après par Jordan qui se libéra dans un cris bien plus sonore que le sien. Willy resta en lui quelques secondes en plus, pas presser  de quitter cet endroit merveilleux  qui venait de lui faire atteindre l’orgasme comme jamais auparavant. C’était la même chose pour Jordan qui ne souhaitait pas moins, voir partir cette sensation si plaisante. Mais Willy se retira et à la grande surprise de Jordan, il se colla contre son corps humide, le nichant dans ses bras musclés et tous aussi dégoulinant.. En vérité il voulait recommencer immédiatement cette partie de jambes en l’air, mais sa blessure le lançait un peu, il préféra donc freiner la cadence, avant que sa plaie ne s’ouvre à nouveau. Jordan compris tout de suite en le voyant appuyer légèrement sur sa blessure -couverte par un bandage- en faisant la grimace. Alors ils restèrent là face à face, l’un contre l’autre ne prononçant pas un mot, par peur de briser cet instant si particulier. Et pendant que Willy semblait  chavirer dans un profond sommeil, Jordan caressait du bout des doigts son visage et ses mèches dorées. Il était si beau, les yeux fermés  calme comme un ange. A l’observer ainsi, il s’aperçut qu’il ressentait quelque chose de plus fort qu’un simple désir passager, quelque chose de bien plus fort.
- Je t’aime……..

 Et tandis que les yeux de l’un de fermaient, quelques minutes plus tard, les yeux de l’autre se rouvrirent. Un air inquiet se dessinait sur ses traits. Il s’apercevait qu’il venait de provoquer ce qu’il ne voulait surtout pas : son amour

Jordan émergea de la sieste la plus agréable, qu’il est faite en dix sept ans. Il se demandait combien de temps il avait dormir, mais un truc beaucoup plus important lui apparut soudain. Ou était passé cette sensation de chaleur et de bien être qui lui manquaient tant ; ou était passé Willy. Il se releva d’un coup, cherchant partout autour de lui, mais touts ses affaires avaient disparut. Il ne restait plus rien de son passage ici, plus rien des heures de bonheur qu’ils avaient partagé. Il était à présent seul et vide comme cette pièce silencieuse. 

                                        ________________________________________________________ 
 
Et voilà j'ai enfin fini ce chapitre. Q'une chose à dire: en avant pour le prochain!!
     

Par historyshare - Publié dans : Heart's flow
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