Mais bon je reviens vite c'est pas grand chose une semaine.
Voilà, bonnes vacances à tous et à très vite^^
Historyshare
En ce moment je mates une série que je viens de découvrir.
Elle est trop cool et je voulais vous en parler.
Message de prévention pour ceux qui seraient choquer avant même d'avoir lu l'histoire. Je
fais ça pour éviter les abus et pour sauver cette histoire. Donc voilà, si vous vous interessez de près à cette histoire et que vous lisez les chapitres au delà du premier vous verrez
peut-être que c'est une histoire d'amour entre deux être consentant , qui passe par des difficulté pour avoir le droit de s'aimer, tout simplement. Si voulez en savoir plus il faut lire l'article
dans notes de l'auteur petit problème. Mais n'oubliez pas qu'avant tout c'est une fiction, pas complètement irréaliste mais voilà ce n'est qu'une histoire. Sur ce bonne lecture.
J'émergeais d'un sommeil léger, titillé par ma vessie qui me demandait grâce. A pas de zombie, les yeux à demi-fermés par la fatigue, je tentais avec peine d'atteindre les WC pour me
soulager. Après plusieurs tentatives, j'atteignais la cuvette dans un humm!! de plaisir. Le^petit arrêt au pipi-room terminé, je reprenais le chemin inverse pour retourner dans mon canapé
douillet, en essayant de ne pas réveiller Marc qui semblait dormir paisiblement, enfin pour le peu que j'en avait vu. Mais il était hors de question de le réveiller car je comptais bien
profiter du calme qui campait depuis plus de deux jours entre nous. Ouais, deux jours qu'il n'avait rien tenté depuis ce petit échange brûlant qu'on avait partagé. Marc était gay et je l'avoue,
ça ne me déplaisait pas vraiment, surtout qu'il semblait avoir jeté son dévolu sur ma petite personne, enfin il y a deux jour c'était le cas. Depuis plus rien , pas même un regard. Il m'ignorait
totalement et quand j'essayais d'engager une discussion quelconque il m'envoyait chier. Je me demandais si c'était une technique spéciale, pour mieux m'attirer à lui. J'en savais rien mais en
tout cas ça marchait, j'étais complètement frustré par sa beauté flagrante et son soudain changement d'attitude.
En même temps c'était de sa faute, chauffer un gars pour le refroidir ensuite, c'était totalement puéril de sa part..
C'était évident il se foutait de moi et comme un con ça m'énervait.
Frappé par un soudain élan de courage, je déboulais dans la chambre, tout de même dans un état second, abruti par la fatigue, près à régler mes comptes. Je m'apprêtais à lui gueuler dessus,
ma façon de penser, lorsqu'un bruit lointain mais distinct capta mon attention. On aurait dit une télé en marche et par réflexe je jetais un coup d'oeil plus approfondie en direction du lit
super-posé. Après une seconde inspection je m'aperçus que Marc n'y était plus et apparemment il était à l'étage d'en dessous. Ma tête se mit en marche et il me fallut pas moins de
deux secondes d'hésitation avant de me résigner à prendre le chemin du couloir. La tentation était trop forte, je voulais savoir ce qu'il fabriquait. Je descendais les marches le plus
silencieusement possible, j'arrivais dans l'entrée spacieuse du rez-de-chaussé et prenais la première à droite. Je m'arrêtais à la porte du salon où la lumière de l'écran se reflétait. Le canapé
était face à la télé et je voyais la tête de Marc qui dépassait largement du dossier, me faire dos. De tout évidence il était absorbé par son petit visionage nocturne.
Je tentais de me mettre sur la pointe des pieds pour me surélever, dans le but de voir ce qu'il y avait d'intéressant, mais il faisait barrage assis sur se gros canapé et à la distance ou je me
trouvais, ce n'était pas évident. Je tendis alors l'oreille sans rentrer pour autant et en essayant de ne pas me faire repérer. Après quelque secondes de concentration pour tenter de déchiffrer
ce bruit de fond, je finis par reconnaître la bande sono de son super film. Et au dernier cris poussés plus bruyant que les autres et très masculin je vacillais légèrement . Je n'eus alors pas
d'autre choix que d'envoyer accidentellement mon pied dans la porte. L'effet fut immédiat et Marc se retourna instantanément pour connaître l'origine de ce vacarme et lorsqu'il me reconnu
enfin un sourire presque sadique se dessina sur ses lèvres .
- Si je m'attendais à ça !
- C'est pas ce que tu crois....
Son regard glissa sur moi, de la tête aux pieds, alors que je n'osais plus faire un pas . Après dix bonnes secondes d'inspection je consentis le premier à briser cette situation quelque peu
gênante en tentant de faire demi-tour pour filer tout droit à l'étage, d'où je n'aurai jamais dû descendre d'ailleurs.
J'entendis à ce moment là le bruit de fond du porno qu'il matait, s'arrêter.
- Oh! Ne crois pas que tu puisses te barrer si facilement.
Je m'arrêtais en pleine élan, profitant de ce rare dialogue qui venait de s'installer à l'instant..
-Et depuis quand on se reparle, tous les deux.
- Viens plus près et je t'expliquerais.....
Je scrutais ses lèvres, rosée par sa langue qui semblait m'aguicher en s'attardant sur chacunes d'elles.
Mon corps réagissait plus vite que mon cerveau. Il me tentait vraiment trop et ce n'était pas une heure à laquelle j'avais la force de résister à un gars dans son genre. J'avançais à une
lenteur extrême, assez réticent à m'impliquer dans une histoire louche. Au fil de ma progression l'image marqué sur pause, m'apparaissait entièrement et lorsque je fus arrivé près du
canapé et que je m'y assis mes yeux n'arrivaient plus à quitter l'écran.
- Tu mates un porno gay.........alors que les parents sont juste en haut!
- Du calme, arrête de stresser , ils ont plutôt le sommeil lourd. Mais si ça te choque le porno gay......
- Non, pas du tout, c'est juste........
- Ca tombe bien parce que maintenant que tu es là, on va pouvoir commencer.
-Il pressa le boutton lecture et les deux corps immobile, il y a quelque minutes encore se mirent à bouger en rythme continuant la phase pénétration qu'il avait déjà bien entamer. Les coups
de reins étaient puissant, leur arrachant des cris de jouissance en parfaite harmonie. Une douce sensation m'envahit au niveau de tous mes points sensibles .
Ce que ça me faisait du bien de voir un mec en pénétrer un autre, des images de ma propre partie de jambe en l'air me revinrent en mémoire. Un acte qu'il était tant que j'oublie mais comment
était-ce possible ? C'était le genre de moment grandiose qu'on avait du mal à oublier . Mais je tenterais d'y mettre fin.
Tandis que le film me rendait de plus en plus patraque et que mon corps devenait une véritable chaudière, je remarquais le son d'une boucle de ceinture qu'on desserrait. Je tournais la tête assez
dérouté et constatait que Marc était déjà bien excité. Je suivais des yeux sa main qui s'agitait lentement, sur son fin tissus gris, s'attardant sur cette grosseur qui semblait déjà être dur à
souhait. Je déglutissais face à ce spectacle qui ne me laissait pas insensible.
- Je vois.......que tu apprécies
- Non c'est juste........ que..... Ah! arrête ça ....
Il venait de se rapprocher dangereusement, plaquant sa main droite dans ma tignasse eb me massant le crâne avec douceur. Je sentis ensuite ses lèvres se poser à la limites de ma mâchoire et de ma
nuque, goûtant au passage ma peau avec sa langue. Il prit alors ma main qu'il pausa sur son entre-jambe, qui ne demandait qu'une chose être libéré de ce vêtement trop oppressant. Marc au
creux de mon cou, alternait entre baiser et chuchotement à l'oreille. Humm!! Il me donnait chaud à me coller comme ça.
- Touche moi ici, Antonio. J'ai envie que tu me branle.......juste là!
Devant l'insistance de sa langue sur cette partie très réactive de mon anatomie, je ne me rendis pas compte que mes doigts ouvraient sa braguette et qu'ils se faufilaient déjà dans son
caleçon légèrement baissé. Ma main n'hésita pas deux secondes et empoigna son sexe avec empressement, effectuant ainsi des mouvements de vas et viens sur ce pénis dur et gonflé au creux de
sa main.
- Humm!! Tu sais t'y prendre, ahh.....! j'ai eu raison d'attendre, Une vrai pédale en chaleur.
Au lieu de m'indigner, ses paroles m'excitaient grave - allez savoir pourquoi- et ajouté à cela le film qui continuait à tourner auquel je jetais quelques coup d'oeil furtifs, tout
ceux-ci me branchait bien, mais comme si ce n'était pas assez je sentis sa main gauche s'aventurer sous mon t-shirt, titillant les endroits les plus délicats de mon torse.
Ses douces caresses durèrent quelques minutes puis je sentis dans sa façon de me toucher qu'il voulait plus qu'une simple branlette.
- Suces moi, Antonio.....
Il baissa un peu plus son froque, histoire que je puisse profiter de sa queue entièrement.
- Je ne sais pas......
Je ne pouvais plus bouger devant ce pénis, offert et si imposant . Je ne pouvais plus penser, je voulais savoir quel goût il aurait en bouche, rien que l'idée me rendait brûlant de
partout. Marc qui ne semblait pas vouloir attendre mon accord, profita de la bonne place de sa main sur ma nuque pour la presser et la pousser vers le bas, vers l'objet tant convoité. Je me
laissais faire, trop soumis pour résister. Mais à mis chemin une pensée me traversa l'esprit. Après tout ce qui s'était passé je pensais que ma première pipe, pour être direct, se
passerai avec lui, le seul, l'unique.....mon père quoi. D' ailleurs je remarquais que j'avais de plus en plus de mal à l'appeler comme ça. Cette idée si surprenante, à un moment
pareille, freina toute tentative de féllation sur le sexe de Marc.
-Eh!! Pourquoi tu t'arrêtes, t'as pas le droit de me faire ça.
Voyant l'expression léthargique que j'affichais Il pressa de nouveau ma nuque. Je tentais de résister mais il était plus fort et tout de même, assez convaincant. Ma bouche rentra alors en
contacte avec son gland. Je gardais dans un premier temps les lèvres sceller mais il exerçait sur moi un véritable confinement que je finis par entrouvrir mes lèvres. Il n'hésita pas à
engouffrer sa verge dans ma bouche, l'enfonçant assez profondément. J'étais partagé par l'envie de le sucer et ses pensées si étrange qui me revenaient en mémoire alors que je pensais
les chassées définitivement. Marc, lui ne sembla pas s'en préoccuper et provoqua lui même les vas et viens sur sa verge en appuyant sur ma tête et en bougeant son bassin au
rythme des vas et viens. Au bout d'un moment ma bouche s'actionna elle aussi, participant enfin à cette fellation.
- Ahh! Antonio, c'est bon ce que tu me fais.......continu, ta bouche est un vrai régale pour ma bite.
Je sentais sa queue grossir et gonfler, plus il l'enfonçait dans ma gorge. Il y allait pas mollo et l'enfonçait jusqu'au bout , son engin hyper balèse. Plus il accélérait ces coups de
bassins, plus j'avais envie d'arrêter. Même si ce n'était pas répugnant, je ne voulait pas qu'il soit le premier à qui je fasse une pipe, du moins une pipe complète.
Je profitais de son relâchement, dû au plaisir qu'il prenait dans ma bouche, et me dégageais soudainement, reprenant mon souffle au passage.
- Connard, tu m'as obligé!
- ..... Cet arrêt, c'était soudain . Pourquoi tu as arrêté, c'était si bon.
- Putain tu m'as forcé à te sucer!
- J'appellerais pas ça forcé, tu ne semblais pas vouloir te décider, j'ai accélérer les choses pour que tu saches à quel point c'était bon.......ce n'était pas bon!
- Ce...... ce n'était pas à toi que je voulais faire cette fellation!
Sur ces mots, je me relevais rapidement, me dirigeant vers la cuisine, j'avais subitement très soif. Une fois dedans je me servais un grand verre de limonade en me remettant de mes émotions.
Alors que j'étais en pleine dégustation, je vis Marc entré l'air gêné. Je remarquais tout un coup qu'il avait un jeans, j'étais tellement absorbé par le lui enlever que j'avais pas fait
gaffe.
- Excuse moi pour tout à l'heure, j'ai dépassé les limites . Mais quand je t'ai sentis près de moi, je n'arrivais plus à me contrôler.
- Et ton film porno, il ne te convient plus.
- Arrêtes avec ça, si je matais pas ce truc tu ne serais pas là en ce moment.
- Qu'est ce que tu racontes?
- Si ce film n'était pas là, tu serais sûrement dans mon pieu à l'heure qu'il est.
- Ah, bon! Mais toi t'y es jamais. Je m'en doutais et ce jeans prouve tout. Tu passes toutes tes nuits dehors depuis que je suis là. Super façon de me mettre dans ton pieu.
- Je n'arrivais plus à me contrôler, je t'ai dit. Si j'avais continué à dormir dans la même chambre que toi je t'aurai sûrement pris de force. J'ai préféré m'exiler chez une amie. T'inquiètes pas
c'est juste une fille, bonne copine, je suis gay à cent pourcent. Et puis elle m'a jeté ce soir comme une merde à cause de son mec. Alors, ne sois pas jaloux.
- Moi jaloux- enfin je devais avouer que son excuse pour découcher me rassurait- si tu tenais vraiment à moi, tu trouverais un moyen pour passer outre cette attirance qui t'empêche de dormir
ici.
- C'est difficile ce que tu me demandes, mais je peux le faire.
A ce moment précis il était très attendrissant, j'avais presque envie de l'embrasser.
- Alors reviens à la maison et parle avec moi. Arrêtes de te conduire comme un étranger et après on verra.
Je rêve ou je venais de lui donner une chance. Mais son visage était si mignon et si bien dessiné que j'étais complètement faible face à lui. Mais ça relevais plus du désir qu'autre chose.
- Tu veux dire qu'il y a une petite chance, pour nous deux?
- Je ne sais pas, mes sois patient, plus de fellation presque forcé.
- Promis.
Il approcha et se blottit contre moi la tête dans le creux de mon cou.
- Tu l'aimes cette endroit.
- Il y a un autre endroit que j'aimerai beaucoup , j'en suis sûre.
Il avait reprit son air sexy et fixait ma bouche, les yeux brillant de désir.
- Est ce que je peux t'embrasser, légèrement.
- .......Ok, mais léger.
Je sentis sa bouche se rapprocher , et son souffle régulier,ventiler mes lèvres. Ces lèvres frôlaient presque les miennes lorsque la sonnette retentit.
On se regarda tout les deux assez surpris.
- Qui ça peut bien être, à deux heures du mat?
- Euh! Tu ferais mieux d'aller voir.....ce serait plus prudent.
- Pourquoi tu parles comme ça, il y a un tueur en série dans le coin, ou quoi!?
- Mais non, enfin pas à ma connaissance.
Mais je ferais le guet avec le téléphone, prêt à composer le numéro des flic, au cas ou. Allez vas-y.
- Quoi tu vas me laisser mettre ma vie en danger pour ta gueule.
- Tu l'aimes ma gueule, non?!
- Pff!
Marc était peut-être mignon, mais c'était un froussard.
Je me dirigeais vers l'entrée qui donnait direct sur la porte d'entrée. Torse nu - je ne sais plus vraiment dans quel circonstance c'était arrivé- et Marc le pantalon à moitié ouvert ,
j'actionnais la poignet de cette immense porte, bloqué par une petite chaîne en or qui empêchait tout individu d'accéder à la maison. C'était une petite sécurité, mais utile.
- Qui est là?!
J'avais le coeur qui battait à toute allure et ça devait pas être mieux pour celui de derrière avec son téléphone à la main. La réponse ne venait pas et je ne discernais qu'une masse noire dans
l'obscurité.
- Qui est .....
- C'est moi Antonio, ouvre moi!
Je reconnus cette voix immédiatement et défis le loquet. J'ouvris la porte sur un homme plus que magnifique et particulièrement bien habillé, entouré de ses deux bagages. Obnubilé par ce
corps en face de moi, si beau et si tentant, je me rendais compte , dans quel tenue il nous surprenait. Je voyais son regard après s'être attardé dans le mien, nous détaillé Marc et moi. Je
me tournais vers Marc qui ne semblait pas déçu par l'arrivé d'un nouveau beau gosse dans la famille et détournais la tête à nouveau vers mon père, qui n'affichait pas une mine des plus ravie.
- On peut me dire ce qui se passe ici?!
- Je.......
Voilà qui promettais. Entre ces deux là, Marine était très loin.
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bien!! J'ai trainé, je sais :( Mais mon ordi ne m'a pas facilité la vie. Bon je sais pas quel histoire je continue pour le prochain chapitre . je donne pas de précision parce que je
sais pas les tenir. J'irais au gré de mon inspiration.
Mai 2024 | ||||||||||
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