Jeudi 17 janvier 4 17 /01 /Jan 22:06




Nouvelle fics. Je pense faire une toute petite pause àprès le chapitre 11 "Le lien paternel", pour commencer celle-ci. Je vous laisse lire l'intro ci-dessous.^^

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Wilson, surnommé Willy et Jordan Vont dans le même lycée côté, dans le cartier sud de Philadelphie.
 Willy(le gars à gauche), du haut de ses 16 ans est une figure montante dans le milieu du rap. Il a du mal à consilier sa scolarité en 1ère et sa passion dévorante pour le rap. Néanmoins issue d'un quartier ghetto, il est l'espoire familiale dû à ses grandes facilités dans les matières scientifiques.
Jordan est à élève de terminale L, Il à une vie asez monotone. Une copine, des copains BCBG, et des resultats exectionnels. Sa meilleur amie, Ginna est la seul qui bouste un peu son quotidien.
 Un soir, elle l'emmene à un concert de rap du quartier. Il déteste le rap, mais devant l'insistance grandissante de Ginna, il finit par accepter.
C'est leur première rencontre.
Deux jeunes que tout sépare, vont se découvrir une amitié sincère; et plus si affinité......
Par historyshare - Publié dans : Heart's flow
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Lundi 14 janvier 1 14 /01 /Jan 09:37

undefined 1h30 environ après notre départ de la Rochelle, on s'arrêtait sur une aire d'autoroute pour manger un morceau. Avec notre départ précipité on avait pas eu le temps de déjeuner. On s'attablait un peu à l'écart vers la porte d'entrée. Je n'avais pas l'attention de taper la discute donc je gardais mon ipod sur les oreilles. Mon père reçu un coup de fil qui dura pas plus de 15 minutes, puis je sentis l'une de ses mains virer un de mes écouteurs.
- C'est ça ta parade pour éviter de me parler.
- Ca avait l'air de marcher jusqu'ici!
- Je sens bien la tension qui s'est installé entre nous.
- Quelle perspicacité!
- Vas-y Antonio, crache le morceau, dis-moi ce que j'ai encore fais!
- J'ai pas envie de parler de ça.Je veux seulement que tu me foutes la paix.
Je remettais mon écouteur en place et mangeais une bouchée rageusement. Ouais! J'étais toujours énervé. Et je m'en voulais d'être le responsable 
de toute cette histoire. Parce que de toute façon, il était clair qu'il se foutait de moi. J'avais du mal à le reconnaître mais cette recente amourette prenait une place beaucoup plus importante que je ne l'aurai cru un jour. J'étais vraiment accroc. Et mes actions devenaient irréfléchies.
A ma grande surprise, mon père ne retenta aucune  approche. En temps normal il m'aurait reprocher mon insolence en me faisant une petite leçon de morale. Au lieu de ça il se contenta de me fixer un instant et de finir son repas.
De retour dans la bagnole, je me réinstallais à l'arrière. Quelque minutes après s'être remis en route, ma tête se mit à tourner et à me faire un mal de chien. Mon corps était devenu chaud et m'oppressait affreusement. Je m'écroulais sur la banquette au bord de la syncope.
Je tentais d'ouvrir les yeux avec difficulté, du notamment a la lumière plus ou moins faible qui éclairait la pièce. Il me fallut un moment pour reprendre mes esprits. Je me redressais avec maladresse et me rendais compte que j'étais à moitié couché sur un lit, et que par la même occasion j'avais perdu ma veste et mes shoes. Je tournais la tête dans tout les sens, en espérant reconnaître quelque chose, mais impossible se lieu ne m'étais pas du tout familier.
J'entendis un bruit provenir de la porte fermée en face de moi à travers laquelle s'échappait un filament de lumière. La porte s'ouvrit, laissant apparaître un corps ruisselant de la tête au pied, ayant pour seul vêtement une serviette, entourée à la taille.
- Tu t'es enfin réveillé.
- Ouais...mais j'ai la tête dans le cirage. Qu'est qu'on fou ici?
- T'as fait une crise d'allergie. Tu te sentais vraiment pas bien, j'ai cru bon de m'arrêter dans cette hôtel.
En plus, il commençait à faire nuit et un peu plus haut dans le nord, il prévoyait du verglas. Par la même occasion, je nous sauve peut-être la vie.
- Comment?
- Oignon rouge, tu ne t'es pas méfié. Il devait sûrement en avoir dans ton plat.
- Ça n'arrive tellement jamais, que je fais plus attention.
- La prochaine fois fais un peu plus gaf. Tu m'as fait une de cet peur! J'ai cru ....
- Quoi....
Il détourna la tête, apparemment gêné par ce qu'il allait dire.
- Rien. Tu ferais mieux de te rendormir. Je t'es donné un médoc mais ça na pas fait effet tout de suite. Repose toi pour être en forme demain.
Je me laissais retomber sur le lit, encore légèrement dans le coltard.
- Et toi qu'es que tu vas faire, à part te trimballer à moitié à poil devant moi?
- Est-ce ma faute, si ça te fait autant d'effet?!
Je n'étais pas habitué, surtout cet dernier temps,à l'entendre ironiser sur un sujet aussi délicat.
- En attendant ce n'est pas moi qui suce le premier gars en maillot que je vois!
Pas de réponse. Ca  aussi c'était nouveau. Normalement je me serais pris une bonne torniole dans ma gueule. Mais bon, il y a que les cons qui changent  pas d'avis.
J'entendis une chaise se pousser, puis la petite musique de windows. Il allait sûrement bosser sur l'ordi. J'ouvrai un oeil; il s'était revêtu d'un simple t-shirt blanc et d'un jogging gris. Dommage je préférerais la version serviette.
Finalement, je finissais par retomber dans un léger sommeil. Un sommeil qui s'interrompit lorsque la 
porte d'entrée s'ouvrit dans léger crissement.
- Quel heure est-il?
- Pas loin de 23h.
- T'étais où.
- Je suis allé boire un verre au bar, ta mère m'as appelée, pour me dire que ta soeur allait mieux, qu'y avait plus de quoi s'inquiéter.
- Ok. Je suis crevé mais je sens moins les effets de
cette crise de merde.
- T'as repris des couleurs. Ça te va beaucoup mieux.
Je le vis retirer son t-shirt, puis ces baskets et s'approcher du lit.
- Eh, eh! Qu'est ce que tu fais?
- Je vais me coucher, cette  journée m'a épuisé. Alors fais moi une petite place.
- Non, mais ta pas pris une chambre à part!
- Tu crois que j'ai de l'argent à jeter par les fenêtre !
Je me décalais légèrement et sentis le lit s'alourdir  sous ce nouveau corps installé.
Je n'avais pas prévu ça, je l'avais sûrement espéré mais je pensais pas qu'il le ferais. Du coup je me sentais un peu patraque. De le sentir à quelque centimètre de moi,c'était pas ça qui allait me faire dormir.
- Arrête d'avoir la bougeotte Antonio, j'aimerai bien dormir.
Impossible de dormir, pas avec lui à proximité! 
- Antonio, je te préviens si tu continues à bouger, je te frappe! Qu'est ce qui il y a?!
Je ne savais pas, si j'avais vraiment envie de poser cette question, mais si je ne le faisais pas ça allait me faire chier toute la nuit.
- J'ai l'impression que tu te fous un peu de ma gueule.
- De quoi tu parle?
Il s'était légèrement tourné pour me faire face.
Avec ces cheveux en bataille, et ses yeux si captivant j'en perdais mes mots.
- Je......la nuit d'avant hier, je n'ai pas compris, pas après ce qui c'était passé...j'ai l'impression que tu joues avec moi, avec mes sentiments. Je fais peut-être dans l'émotionnel, et c'est pas mon style.... mais ça me laisse pas indifférent, c'est d'ailleurs tout le contraire......
Un long silence suivit, puis je finissait par me retourner,en lui faisant dos. Encore une discussion qui n'aboutirai sur rien.
- Antonio, viens....
Je ne bougeais pas, Je ne voulais pas le laissé gagner, lui montrer que j'étais faible.
- Viens!
Le ton employé, n'appelait aucun refus. J'inspirais un bon coup, et m'approchais lui.Néanmoins je demeurais tourné, toujours face au mur, pour la simple raison que je flippais un peu. Mon père était si changeant, que je ne savais pas à quoi m'attendre.
Je sentis sa main s'agripper à mon bras et me tirer légèrement, de sorte que je me retrouvais sur le dos, son visage à quelque millimètres du mien.
- Ne crois pas que je suis le genre de mec à vaguer entre deux eaux. Si je l'ai fait c'est que je n'avais pas le choix. Je ne peux pas, du jours au lendemain, faire comme si quelque chose clochait.
Il faut que je me comporte le plus normalement possible, même si ce que j'ai envie de faire quand je te vois n'a rien de normale.
- Je m'en tape que se soit normale ou pas, je ne
 contrôle pas que je ressens pour toi!! Avec du recule j'aurai préféré que rien se passe.....
- Mais ça c'est passé Antonio, et ...j'ai envie de plus.
Ces lèvres frôlèrent les miennes. Je commençais à  m'exciter, à baisser ma garde, mais c'était au dessus de mes forces de lui résister.
- Qu'est ce...que tu veux...
Il reprit mes lèvre plus intensément, introduisant sa langue puis la retirant presque aussitôt, mimant ainsi des mouvement de pénétrations. A me frustrer comme ça, j'essayais d'intercepter ses lèvres, mais pas moyens il se reculait légèrement de sorte qu'il évitait toute action de ma part.
- Je veux ce que tu souhaitais il y a à peine quelque jours de ça. Une nuit avec toi.
Il se souleva légèrement, écarta mes jambes, puis se plaça entre. Après m'avoir fait attendre, je finis par trouver ses lèvres. Ce baiser se fit tout suite très passionné. Nos jeux de langues se faisaient de plus en plus gourmandes et sensuelles. J'en profitais pour promener mes mains à ma guise sur son torse parfait. Alors que je titillais tous les points sensibles de ses pectoraux, sa main frôla mon entre-jambe, puis il desserra le premier bouton, puis s'en suivies le deuxième et ainsi de suite.
Il passa sa main a dans mon calcif, prit mon sexe en main et le masturba un moment, puis après la jouissance, il lécha mon sperme sur l'un de doigt tout en me regardant fixement dans les yeux. Ce qui m'excita à nouveau. Il souleva mon bassin pour mieux se placer face à mon orifice. Je le laissais tout contrôler, il se débrouillait tellement bien pour trouver mes points sensibles! Il m'embrassa 
langoureusement puis me pria de lécher son doigt;ce que je fit bien entendu.
- Il faut que te prépare,sinon ça va te faire un mal de chien.
- Vas-y..
- Ca risque de faire mal.
- Je m'en fou, j'en peu plus là...
il m'embrassa dans le coup, puis inséra avec une extrême douceur son doigt dans mon anus. Je grimaçais sous la douleur, mais après d'infimes baiser, de sa part sur mes lèvres, la douleur s'estompa légèrement. Il le remua de plus en plus profondemment. Après quelque secondes, ses vas et viens me procurèrent énormément de plaisir. Il inséra ensuite un second doigt. je bougeais au rythme des ces mouvements pour mieux apprécier la sensation. Après ma décontraction totale, il reprit le contrôle de mes lèvres, et je sentis son pénis  se frotter contre mon anus.
- Tu m'excite top Antonio.....
- Alors qu'est ce que t'attend, prends moi...
Il me pénétra avec douceur. C'était vraiment étrange. Mais malgré la douleur, la sensation était extraordinaire. Je me cramponnais à son coup lorsqu'il me pénétra à nouveau.
- ....c'est....trop bon Antonio!!
Il réitéra des mouvement de vas et viens d'abord très lent, ce qui m'arracha pas mal de gémissements, puis il accéléra les mouvements dans des coups secs et profonds. 
- Ah..... continu....c'est parfait!
Après un long moment d'intense plaisir et un coup de rein plus jouissif que les autres, j'éjaculais dans un râle de plaisirs. Il ne tarda pas à me rejoindre et se déversa en moi. Après s'être retirer, il se laissa retomber sur mon torse épuiser, mais plus beau que jamais. C'était sans aucun doute la plus belle experience de ma vie, du pur plaisir.
- Déjà fatigué!?
- Je n'ai plus 17 ans moi! Laisse-moi soufflé une seconde et je te montre à quel point je suis fatigué.
Plus tard, après avoir pratiquer 2 fois, de nouveau, je m'endormais dans ces bras, niché au creux de son cou.
Le lendemain matin lorsque j'ouvris l'oeil, Il était déjà habillé entrain de déjeuner, le journal à la main.
- Dépêches toi, il est déjà 9h. Ta mère nous attends pour 13h.
- Où est passé la douceur de la veille.
- Une nuit, Antonio..... juste une nuit.
Je me levais totalement nue et ramassait mes affaires qui traînaient.
- Comment ai-je pu croire que ça..... enfin, une nuit c'était le contrat.
Mon père releva le née de son journal, le regard neutre.
- Va te laver, ça sent la transpiration jusqu'ici!
- A qui la faute!
j'allais dans la salle de bain,ou je m'inondais d'eau chaude. j'eus une envie soudaine de chialer. Ce qui ne tarda pas. Je m'effondrais dans la baignoire, remplis d'amertume et de regrets. 
Je ressortais une fois calmé, puis,on se rendit à la bagnole. Je me replaçais à l'arrière et essayais de faire le vide dans ma tête; Mais comment était-ce possible! Pas avec la nuit dernière. Je misais tout sur ce déménagement, c'était la dernière solution. Mais en même temps, ne plus le voir autant qu'avant me manquerait sûrement. En clair il y avait pas de solution à ce problème, pas temps que j'aurai un faible pour lui. J'étais dans l'impasse, et je ne savait pas comment me sortir de là.

              ______________________________

La suite très bientôt!!!!-_-



Par historyshare - Publié dans : Le lien paternel- terminée *-*
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Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 14:55

Désolé, j'ai pas publié beaucoup d'articles cette semaine, mais j'ai pas encore trouver mon rythme entre le lycée, les devoirs ect...et l'écriture de mes fics.
Mes je vais mieux m'organiser pour au moins en publier 3 par semaine. 

Ps: j'ai réfléchi à pas mal d'idée de fics et je vous ferai partager mes idées très bientôt.

Voilà, bisous à tous et merci encore pour tous vos commentaires^^!!

Par historyshare - Publié dans : notes de l'auteur
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Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 14:54

undefined  Ces vacances se passaient plutôt bien. Ça faisait déjà 3 jours qu'on pionçait sur place. Et Je m'amusais, je m'éclatais, je flirtais et surtout je décompressais. Mais le plus cool, c'est que je ne voyais pratiquement pas ma tante, ma mère et mon père. On partais le matin avec Madie et on ne revenait qu'en début de soirée, ma soeur et ma petite cousine quant à elles étaient dans un stage de voile qui devait durée jusqu'à vendredi , veille de notre départ. On avait donc la maison pour nous tous seul à partir de 19h. Ils nous informaient alors qu'ils passaient la soirée dehors et qu'on avait de quoi dîner pour la notre.
Mais après 3 jours de tranquillité suprême -on avait même eu l'occase d'organiser une petite fête ni vue ni connue- les voilà revenu, prétextant que les petites soirées dehors jusqu'à pas d'heures c'était sympa mais qu'a un moment on sature.
Je les avais entendue rentrée sur les coup de 19h, de la chambre d'amis que j'occupais. Mais je n'avais aucune envie de descendre. Je m'étais bien éclaté ces derniers jours, jusqu'à me déconnecter de la réalité. Alors, je me demandais comment je réagirai en le revoyant. Mon coeur allait-il battre à pleine vitesse, ou peut-être n'allait-il rien se passer ? Avec un peu chance il aura perdu de son charme. Ouais ça sa m'étonnerais!
- Antonio, descend chéri!
 Ça c'était la voix de ma mère; moi qui comptait faire profil bas jusqu'au dîner.
- On a besoin de ton aide!
Ok bah! j'avais plus le choix. Ils étaient tous assis au salon entrain prendre l'apéro.Un carton était  
posé sur la petite table, contenant pas mal de fringues. Je ne lui jetais même pas un coup d'oeil. Rien de savoir qu'il était dans la même piece me rendais tout cramoisi.
- Ca va, t'as pas l'air très bien mon chérie?
- Non sa va j'ai juste un petit mal de crâne.A quoi puis-je vous être utile?
Je lançais un regard furtif dans sa direction. Il feuilletait un magazine une main errante sur la cuise de ma mère. Petit pincement au coeur.
Alors que je n'avais qu'une envie: me barrer d'ici au plus vite, ma tante capta de nouveau mon attention.
- Antonio, j'ouvre ma boutique d'accessoires de plage. Donc j'ai une gamme de maillot pour homme à choisir. J'ai besoin que tu joues les mannequins.
- Devant vous?
- Ouai se serait mieux!
- Shé pas....
Mes yeux s'attardèrent, une fois de plus sur ce corps installé confortablement sur ce canapé et qui consentait enfin, depuis mon arrivé dans le salon, à me jeter un regard; certainement intéressé par la suite des évènements.
- Allez, mon garçon rends ce service à ta tante et tout le monde ta déjà vu à moitié nu ici, si c'est ça qui te gène.
- Épargnez-moi les détails. Ou sont les fringues?
- Derrière toi, prends le carton et monte a l'étage.
Je m'exécutais et quelques minutes plus tard je revenais revêtu d'un simple maillot, style boxer.
Tandis que ma mère et ma tante notaient leurs impressions sur un carnet, je sentais le regard pesant de mon père qui ne me quittait plus. Je le sentais glisser sur ma peau, sur chaque parcelle de mon torse, au nez et à la barbe de tous.
Au bout d'une dizaines d'essayages, c'était le bordel totale. Je m'y retrouvait plus dans les maillot que j'avais déjà essayer et ceux que je n'avais pas encore porté. 
Je me m'étais alors à faire le tri. Un tri qui parut durer une éternité, car quelques instants plus tard j'entendais frapper a la porte.
- 2 secondes, mam, j'arrive!
- Ce n'est pas ta mère. Je peux rentrer?
- Pourquoi, je suis en calcif...
Je me mis à paniquer, qu'est ce qui me voulait ?
C'était déjà assez difficile de parader à moitié à poil
devant lui. J'essayais de remettre la main sur quelque vêtements mais top tard il était déjà rentrer.
- Tu t'en sort?
-  Ouais, ça va. Qu'est ce que tu veux?
- Rien de particulier.
Il fit un pas en ma direction, et je reculais machinalement.
- Elles...elles ne s'impatientent pas, en bas?
- Elles ont profiter de ta trop longue absence pour aller acheter de quoi manger.
- Ok, je me réhabis. J'en ai marre de parader pour quedal.
- Tu veut une récompense!
En moins de temps qu'il faut le dire, je sentais sa main douce caresser mon dos.
- Joue pas à ça avec moi! 
Ça ne l'arrêta pas. Je sentis ses lèvres et sa langue sur ma nuque. Je me retournais rapidement. Pas question de le laisser me chauffer à sa guise. Il avait marqué des limites et je comptais bien les respecter. Je savais que j'allais souffrir si cette relation se développait. Fallait tout stopper avant tout ça ne dégénère.
J'agrippais mes mains à son pull noir, pour le maintenir à bonne distance.
- Je refuse que tu m'utilise quand ça te chante!
Tes beaux serments ont fini par rentrer. Je veux plus que tu me touche. Tu me fais même plus d'effet....
Il chopa mes deux bras brusquement, puis me poussa contre le mur et pressa son corps contre le mien, à moitié dénudé.
- Ce que je sens, c'est pas de l'effet ça?
- C'est juste une réaction physique, ce n'est.....
Il ne me laissa pas finir que je sentis sa bouche contre la mienne. Mais je refusais obstinément d'ouvrir les lèvres. Je savais résister quand il fallait.
- Tu veux que j'emploie les grands moyens... 
-  Je veux pas de ta langue dans ma bouche.
- C'est ce qu'on va voir....
Tandis que sa bouche continuait son exploration et que sa langue léchait mes lèvres dans des caresses si sensuel que je pensais faire machine arrière, sa main descendit jusqu'à mon entre jambe. Il massa ma queue légèrement à travers le boxer. Je voulais pas laisser échapper un seul bruit, pour pas lui laisser penser que je prenais du plaisir. Mais j'avais de plus en plus de mal à me contenir.
- Tu m'impressionne là!
Il faufila alors sa main à l'intérieur de mon seul vêtement, et toucha du bout des doigts mon gland.
J'avalais une gorgée de salive tellement la sensation était forte. Il renouvela le toucher, mais cette fois, sa main glissa le long de ma verge en érection. C'était la première fois qu'il me branlait et c'était vraiment le pied. Je ne pus pas retenir mes gémissements bien longtemps. Il en profita et força le barrage de mes lèvre pour y insérer sa langue, qui trouva la mienne. Ses coups de langue étaient trop hot pour que je reste insensible. Finalement sa persévérance paya puisque je finissais par m'abandonner totalement à ses mains expertes et mêlais ma langue à la sienne dans un baiser brûlant de désir. Il appuyait sur ma nuque pour approfondir se baiser déjà très intense. Il accéléra le mouv- ements sur mon pénis mais s'arrêta juste avant la jouissance. Il quitta mes lèvres et s'attaqua a mon torse qu'il se mit a lécher parcelles par parcelles.
Il s'attarda sur mes pectoraux, puis sur mes tétons déjà  bien durcit. Enfin il se baissa totalement jusqu'à se trouver en face de ma bosse proémi-
nente.
- J'ai tellement d'envie de te goûter....en te voyant là, à parader à moitier nu, ça m'a complètement excité. C'était incontrôlable, il fallait que je te touche...
Il reprit mon pénis en main et en lécha l'extrémité.
- ahhh....prends la en bouche je t'en prie,j'en peux plus!
Il ne fallut pas le redire deux fois qu'il la prenait en pleine bouche. Ses succions se faisait de plus en plus  profond, et pour intensifier le plaisirs, je donnais des légers coups de reins en alternance avec ses coups de langues. Je maintenais sa tête pour que chaque succions sois plus approfondies.
Et il s'exécutait; c'était l'extase totale.
J'entendis la porte d'en bas s'ouvrir, et les voix de ma mère et de ma tante.
- J'en peux plus.....je vais.....elles vont...
Il ne se retira pas et avala ma semence quelques secondes plus tard. Il se releva puis reprit le contrôle de mes lèvre. Son baiser était lent et passionné. Il l'arrêta l'instant d'après.
- Je.....
- Je sais déjà comment ça va finir. J'aurai jamais du  te laisser me sucer mais qu'es ce que tu veux, je suis faible fasse à toi.
Il déposa un dernier, et léger baiser sur mes lèvres, puis s 'en alla ouvrir la porte.
- Dans tout ça tu t'es même pas soulager.
- De te toucher et de te voir gemir à mes caresses c'était le plus agréable des soulagements.
Sur ces mots il disparût dans le couloir.
Le soir même, j'étais dans tous mes état. Après le retour de Madie et un dîner fast-food à emporté, je montais dans ma chambre de substitution. Ensuite après une discussion de près d'une heure avec Patricia la poto de Madie, qui me lâchait plus les basket, j'entendis des bruits particuliers provenant de la chambre, accolé a la mienne , celle de mes parents. Ces bruits, ou plutôt devrais-je dire ces gémissements me firent l'effet d'un coup de poignard. J'étais tellement révolté, en colère que j'avais failli me lever et rentrer dans leur chambre pour les voir en pleine action et pour pouvoir lui balancer ses quatre vérités en pleine face.
Au lieu de ça je prenais mon ipod et mettais la musique à fond. Mais impossible d'effacer ces sons. Il était entrain de lui faire l'amour alors qu'une heure plutôt il  me suçait dans la salle de bain. Après l'avoir maudit et détester, je m'en prenais à moi-même. Enfin 1h plus tard je trouvais le sommeil.
Un incident se produisit le lendemain sans que je ne le veuille réellement. Toute la famille partit sur les coup de 12h pour un pic-nique improvisé au bord de la mère. J'avais trouvé une excuse débile pour rester seul dans cette grande maison, et donc pour échapper à cette sortie familiale. 3o minutes après leur départ j'appelais Patricia pour quelle vienne faire un tour dans ma chambre. 5 minutes plus tardelle sonnait à ma porte. On montait et on se deshabillait rapidement. Je faisais main basse sur les préliminaires et assurais le strict minimum. J'avais juste envie de baiser et uniquement ça. Je la pénétrais brutalement, mais ça n'eus pas l'air de lui faire mal car elle gémît comme une dératée. Suite à quelque coup de rein surpuissant qui l'a faisait crier de plus en plus fort. j'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir. Je m'arrêtais un instant.
- Et!! Pourquoi tu t'arrêtes.......c'était bon!
Il était la devant moi revêtit d'un jeans bien taillé, limites slim et d'un pull gris laissant apercevoir le liseré d'un t-shirt blanc.
Je reprenais mes coup de bassin, ne lâchant pas mon père des yeux.
- Tu peux pas...savoir....comme elle est bonne sa chatte!
- A qu.... qui tu...parle..ahh! Monsieur....Antonio.. arrête il y a ton...père!!!!
- Ne vous inquiétez pas j'allais y aller de toute façon!
Je captais sa dernière expression sévère et dur. Ça l'avais touché autant que sa m'avais touché hier soir. Je fit dégager Patricia quelque minute plus tard, et restais couché dans mon lit les yeux ouverts. Hâte que se putain déménagement se passe!
Les derniers jours passèrent comme une traînée de poudre. Un autre évènement vint troubler ces petites vacances tranquilles. Ma soeur était tombé malade et donc avait du rentrer plutôt de son stage.
après une visite chez le médecin et la prescription de quelques médicaments, son état ne s'améliorait pas vraiment. Ma mère décida avec l'accord de mon père qu'elle n'était pas disposé à faire 5 heures de route. Elle réserva donc deux billet de TGV pour être à Paris en moins de 2heures, pour elle et Célia.Vous imaginez donc la suite. Moi je rentrais en voiture avec mon père pour chauffeur.
5 heures seul avec lui. C'était loin d'être une bonne idée.Mais, pouvions nous faire autrement!
Le Vendredi, après avoir préparé le départ de ma mère en début d'après-midi, on préparait le notre en fin d'après-midi -on avait décider de partir un jour plutôt au cas ou l'état de Célia empirait- pour un départ sur les coup de 17 heures.
Une fois que les adieux furent prononcés on se mit en route. Je m'étais assis à l'arrière; aucune envie de passer 5 heures à côté lui!! Et j'espérais que ce voyage, se passe sans incident!!

                 ________________________

ON APPROCHE DU BUT!!^^

Par historyshare - Publié dans : Le lien paternel- terminée *-*
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